Dans certains domaines professionnels, la parité, c’est pas gagné. Même, elle recule, à en croire une récente étude américaine. Selon des chercheurs de l’université de l’Indiana, aux États-Unis, elle démontre que certains secteurs professionnels sont tout simplement des viviers de machos, ou des « repaires de virilité » comme le dit plus sobrement le site de cadremploi.fr. Lesquels ? Les domaines de l’informatique, de l’ingénierie, ou l’armée. De quoi décourager les rares femmes un peu motivées, malgré les campagnes pour tenter de les séduire.
Dans les faits, révèle l’étude, les femmes qui travaillent dans « des milieux majoritairement masculins ont davantage tendance à être stressées. » Pire, être « une des seules femmes sur le terrain est dangereux pour la santé. » Ce sont les conclusions des deux chercheuses - certes des femmes, mais qui travaillent pour la science - Bianca Manago et Cate Taylor. Pour en arriver à ce déprimant constat, elles ont analysé les variations du taux de cortisol, soit l’hormone du stress, chez plus de 440 femmes. Particularité ? Ces dernières travaillaient dans un environnement composé au minimum, de 85 % d’hommes.
Résultat des courses, comparé au reste de la population active, leur stress est plus élevé. Plus largement, ces femmes y sont davantage exposées que les autres. Au quotidien, rapporte cadremploi.fr : « leur corps réussit moins à réguler cette hormone à la fin de la journée. » Sur la durée, cela peut entraîner des effets négatifs. D’une concentration trop importante de cortisol peut en effet découler une fatigue extrême, des insomnies, une dépression, des problèmes de poids et de foie.
Par ailleurs, être seule employée femme parmi des hommes, peut vite devenir « oppressant. » « Considérée comme une intruse, une femme seule parmi des hommes est plus souvent victime de harcèlement sexuel ou de mise au ban. Mais aussi, ses compétences sont davantage remises en cause, elles subissent des pressions sur leurs performances, et se sentent freinées dans leurs espoirs de mobilité », indiquent les chercheuses. Alors ? C’est pas gagné.
Dans les faits, révèle l’étude, les femmes qui travaillent dans « des milieux majoritairement masculins ont davantage tendance à être stressées. » Pire, être « une des seules femmes sur le terrain est dangereux pour la santé. » Ce sont les conclusions des deux chercheuses - certes des femmes, mais qui travaillent pour la science - Bianca Manago et Cate Taylor. Pour en arriver à ce déprimant constat, elles ont analysé les variations du taux de cortisol, soit l’hormone du stress, chez plus de 440 femmes. Particularité ? Ces dernières travaillaient dans un environnement composé au minimum, de 85 % d’hommes.
Résultat des courses, comparé au reste de la population active, leur stress est plus élevé. Plus largement, ces femmes y sont davantage exposées que les autres. Au quotidien, rapporte cadremploi.fr : « leur corps réussit moins à réguler cette hormone à la fin de la journée. » Sur la durée, cela peut entraîner des effets négatifs. D’une concentration trop importante de cortisol peut en effet découler une fatigue extrême, des insomnies, une dépression, des problèmes de poids et de foie.
Par ailleurs, être seule employée femme parmi des hommes, peut vite devenir « oppressant. » « Considérée comme une intruse, une femme seule parmi des hommes est plus souvent victime de harcèlement sexuel ou de mise au ban. Mais aussi, ses compétences sont davantage remises en cause, elles subissent des pressions sur leurs performances, et se sentent freinées dans leurs espoirs de mobilité », indiquent les chercheuses. Alors ? C’est pas gagné.