C’est la journée de la femme, faisons fi de la traditionnelle plaisanterie sur le reste des journées qui sont pour les hommes et entrons dans le vif. « Elles étudient plus mais sont moins payées, s'occupent plus des enfants mais partent à la retraite plus tard: les inégalités entre les femmes et les hommes diminuent lentement, malgré des progrès en termes d'emploi et une vision de moins en moins "stéréotypée" » rapporte l’AFP en s’appuyant sur le rapport de l’Insee sorti mardi.
« Les hommes et les femmes ne parcourent pas les étapes de la vie de la même façon. S'il y a des améliorations, notamment en termes d'emploi, des différences persistent à tous les âges » a commenté Laurence Rioux, responsable des études sociales de l’Insee.
On a beau savoir tout ça, on ne peut s’empêcher d’être étonné à chaque fois. Les femmes sont lus brillantes à l’école, étudient plus mais sont largement moins bien traitées dans le milieu professionnel que les hommes. « Dès l'école primaire, les filles réussissent mieux à l'école que les garçons et cet écart se creuse au collège. Plus diplômées que les hommes, les jeunes femmes sont majoritaires dans le supérieur (55%) et s'engagent dans des cursus plus longs. Cependant, à l'exception des études de médecine, elles sont encore peu présentes dans les filières scientifiques et accèdent à un premier emploi plus tard que les hommes, dévoile l'Insee, à la veille de la journée internationale des droits des femmes » continue l’AFP.
Et si les écarts ont tendance à diminuer, les raisons sont parfois surprenantes. Ainsi le chômage des hommes a dépassé celui des femmes depuis 2013 mais ce serait, explique l’Insee, parce que la crise de 2008 s’est abattu plus durement sur des milieux professionnels très masculins. Mais soyons objectives, il y a tout de même du mieux : en 2015 l’écart entre les hommes et les femmes qui participent au marché du travail est de 8 points contre 31 points il y a 40 ans et sur 100 cadres, 49 sont des femmes.
« Les hommes et les femmes ne parcourent pas les étapes de la vie de la même façon. S'il y a des améliorations, notamment en termes d'emploi, des différences persistent à tous les âges » a commenté Laurence Rioux, responsable des études sociales de l’Insee.
On a beau savoir tout ça, on ne peut s’empêcher d’être étonné à chaque fois. Les femmes sont lus brillantes à l’école, étudient plus mais sont largement moins bien traitées dans le milieu professionnel que les hommes. « Dès l'école primaire, les filles réussissent mieux à l'école que les garçons et cet écart se creuse au collège. Plus diplômées que les hommes, les jeunes femmes sont majoritaires dans le supérieur (55%) et s'engagent dans des cursus plus longs. Cependant, à l'exception des études de médecine, elles sont encore peu présentes dans les filières scientifiques et accèdent à un premier emploi plus tard que les hommes, dévoile l'Insee, à la veille de la journée internationale des droits des femmes » continue l’AFP.
Et si les écarts ont tendance à diminuer, les raisons sont parfois surprenantes. Ainsi le chômage des hommes a dépassé celui des femmes depuis 2013 mais ce serait, explique l’Insee, parce que la crise de 2008 s’est abattu plus durement sur des milieux professionnels très masculins. Mais soyons objectives, il y a tout de même du mieux : en 2015 l’écart entre les hommes et les femmes qui participent au marché du travail est de 8 points contre 31 points il y a 40 ans et sur 100 cadres, 49 sont des femmes.