Avec 667 000 téléspectateurs, d’après Toute la télé , le premier inédit de Faites entrer l’accusé version RMC Story n’a pas cassé la baraque. Ce n’est pas un fiasco total puisque cela représente 2,7% des parts de marché et la deuxième performance des chaines TNT. Mais c’est tout de même décevant dans la mesure où c’est à peine mieux que les rediffusions du dimanche soir qui rassemblaient 650 000 personnes.
Dur, d’autant que pour cette reprise de l’émission, la chaine a affirmé avoir investi. « Lancée en 2000, avec le journaliste Christophe Hondelatte aux manettes, avant qu’il ne cède la place à Frédérique Lantieri, en 2011, l’émission et son catalogue ont depuis été rachetés par le groupe Altice. « FELA » nouvelle formule débarque, dimanche 18 octobre, sur RMC Story, avec Dominique Rizet – expert police-justice depuis vingt ans –, et un nouveau visage, celui du journaliste de BFM-TV Rachid M’Barki. L’émission, coûteuse, avait fait les frais des coupes opérées dans le budget de France Télévisions. Si RMC refuse de communiquer sur le budget de cette nouvelle version, la direction de la communication affirme qu’elle a « cassé sa tirelire » » raconte Le Monde.
En assurant miser sur des faits divers forts et inédits, l’équipe derrière l’émission va espérer faire beaucoup mieux pour les prochaines émissions. « Le hiatus entre le passage de l’émission de France TV à RMC a permis à de nouvelles affaires de « mûrir ». Quinze dossiers criminels ont ainsi été proposés à la chaîne, qui en a retenu six pour les transformer en documentaires. Le numéro qui inaugure cette nouvelle saison, « Le combat de Marie-Rose » revient sur les dix-sept ans d’efforts d’une mère pour découvrir l’identité du meurtrier de sa fille, Christelle Blétry, tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy (Saône-et-Loire). Suivront « Meurtre à la Breaking Bad », le 25 octobre, sur la mort d’Eva Bourseau, tuée, en 2005, par deux garçons de son âge, influencés par la série à succès. Puis, le 1er novembre, « Vaudeville à Chambéry » reviendra sur la disparition, en 2012, de Lionel Véronèse, videur d’une boîte de nuit et amant de l’épouse d’un riche marchand de vins de la région » nous apprend Le Monde. Mais si les inédits de cette nouvelle formule font à peine mieux que les rediffusions, ce sera le signe que le diffuseur compte presque autant que la marque de l’émission. Et que l’émission a bel et bien fait son temps.
Dur, d’autant que pour cette reprise de l’émission, la chaine a affirmé avoir investi. « Lancée en 2000, avec le journaliste Christophe Hondelatte aux manettes, avant qu’il ne cède la place à Frédérique Lantieri, en 2011, l’émission et son catalogue ont depuis été rachetés par le groupe Altice. « FELA » nouvelle formule débarque, dimanche 18 octobre, sur RMC Story, avec Dominique Rizet – expert police-justice depuis vingt ans –, et un nouveau visage, celui du journaliste de BFM-TV Rachid M’Barki. L’émission, coûteuse, avait fait les frais des coupes opérées dans le budget de France Télévisions. Si RMC refuse de communiquer sur le budget de cette nouvelle version, la direction de la communication affirme qu’elle a « cassé sa tirelire » » raconte Le Monde.
En assurant miser sur des faits divers forts et inédits, l’équipe derrière l’émission va espérer faire beaucoup mieux pour les prochaines émissions. « Le hiatus entre le passage de l’émission de France TV à RMC a permis à de nouvelles affaires de « mûrir ». Quinze dossiers criminels ont ainsi été proposés à la chaîne, qui en a retenu six pour les transformer en documentaires. Le numéro qui inaugure cette nouvelle saison, « Le combat de Marie-Rose » revient sur les dix-sept ans d’efforts d’une mère pour découvrir l’identité du meurtrier de sa fille, Christelle Blétry, tuée de 123 coups de couteau, en décembre 1996, à Blanzy (Saône-et-Loire). Suivront « Meurtre à la Breaking Bad », le 25 octobre, sur la mort d’Eva Bourseau, tuée, en 2005, par deux garçons de son âge, influencés par la série à succès. Puis, le 1er novembre, « Vaudeville à Chambéry » reviendra sur la disparition, en 2012, de Lionel Véronèse, videur d’une boîte de nuit et amant de l’épouse d’un riche marchand de vins de la région » nous apprend Le Monde. Mais si les inédits de cette nouvelle formule font à peine mieux que les rediffusions, ce sera le signe que le diffuseur compte presque autant que la marque de l’émission. Et que l’émission a bel et bien fait son temps.