Le label « French Tech », c’est un peu le sésame ? En quelque sorte, oui. En France, neuf villes ont été labellisées « French Tech » par le Ministère de l’Économie. Résultat, les écosystèmes, les start-up et les pépinières numériques poussent comme des champignons. Logiquement, c’est aussi une mine pour les étudiants. Aujourd’hui, à Nantes, ils sont au nombre de 500 000, dispatchés dans des écoles d’art, de design, d’ingénieurs, entre autres. C’est sans compter l’Université et de nombreuses classes préparatoires réputées. Elles sont dispatchées sur plusieurs campus, y compris une classe préparatoire cinéma qui prépare l’entrée à la Fémis. Cette classe prépa est la seule en France.
Parmi les prestigieuses écoles d’ingénieurs, l’École Centrale propose aux étudiants des masters en hydrodynamique, robotique et informatique. L’École des Mines est également présente. À Nantes, ville la plus peuplée de l’Ouest de la France, les écoles supérieures de commerce comme Audencia ou l’Idrac font également florès. Comme les écoles d’art, de design et d’architecture, publiques, comme l’École d’architecture, l’École des Beaux-arts. D’autres sont privées : Pivaut, Lisaa, ECV, École de design... Dans tous les cas, la métropole est « très engagée dans l’économie digitale et le développement durable », rapporte Lefigaro.fr.
Le domaine de la santé est également représenté, attirant plus de mille étudiants en première année. Il existe aussi de nombreuses formations en alternance dans les secteurs de la banque, des assurances, du marketing, du numérique ou de la logistique. À l’Université, il est possible de suivre une licence pro e-commerce et marketing numérique, et une autre en animation de communautés. Dans tous les cas, étudier à Nantes se révèle galvanisant pour les nombreux étudiants.
Parmi les prestigieuses écoles d’ingénieurs, l’École Centrale propose aux étudiants des masters en hydrodynamique, robotique et informatique. L’École des Mines est également présente. À Nantes, ville la plus peuplée de l’Ouest de la France, les écoles supérieures de commerce comme Audencia ou l’Idrac font également florès. Comme les écoles d’art, de design et d’architecture, publiques, comme l’École d’architecture, l’École des Beaux-arts. D’autres sont privées : Pivaut, Lisaa, ECV, École de design... Dans tous les cas, la métropole est « très engagée dans l’économie digitale et le développement durable », rapporte Lefigaro.fr.
Le domaine de la santé est également représenté, attirant plus de mille étudiants en première année. Il existe aussi de nombreuses formations en alternance dans les secteurs de la banque, des assurances, du marketing, du numérique ou de la logistique. À l’Université, il est possible de suivre une licence pro e-commerce et marketing numérique, et une autre en animation de communautés. Dans tous les cas, étudier à Nantes se révèle galvanisant pour les nombreux étudiants.