Le surmenage, une histoire si banale : l’exemple de Claire
Claire est une jeune maman, accessoirement brillante avocate. Collaboratrice dans un cabinet réputé en droit des affaires, elle bénéficie d’un congé maternité qui s’avère éprouvant. Dès son retour à la vie active, elle souffre d’une anxiété caractérisée : ses jeunes collègues, eux-mêmes exténués, en restent distants. La tonalité de leur accueil ? « On a eu un boulot monstre pendant tes congés». Son supérieur, en guise de bienvenue, lui confie une pile insurmontable de dossiers urgents, comme pour lui signifier que son absence a engendré bien du retard dans la gestion des affaires courantes. Alors elle reste au bureau de 7H30 à 20H, débordée de travail, comme pour racheter le « temps perdu par sa faute ». Claire angoisse à l’idée de faire mal ou trop peu, mais peine à se concentrer : elle a confié la garde de son enfant à une personne qualifiée, mais inconnue. Le soir, elle rentre usée. Entre le ménage, la paperasse, et un conjoint en déplacement six mois de l’année, elle craque nerveusement.
D’abord un dialogue, ensuite un constat
Claire consulte son médecin généraliste : « j’avais besoin d’un remontant, je pensais qu’un excitant m’aiderait à avancer plus vite, et donc à me sentir moins submergée ». Mais au fil de leur entretien, les symptômes du surmenage s’imposent comme une évidence. Claire avait perdu toute estime en soi. Collaboratrice modèle, épouse parfaite, maman exemplaire… Tout devait être constamment ordonné, expédié. « Avez-vous parlé de votre surmenage à son supérieur ?» Elle répondit au médecin de famille qu’énoncer le mot « surmenage » auprès de la hiérarchie sonnerait comme un aveu d’échec, elle qui fut embauchée après son stage en reconnaissance de ses capacités de travail et de résistance au stress. De toute façon, pour légitimer le discours du surmenage, il faut montrer qu’on reste tard au travail. C’est très tendance lorsqu’on est un jeune cadre célibataire et ambitieux. Mais lorsqu’il s’agit de concilier une carrière, une vie de parent, et une volonté d’accomplissement personnel, c’est plus compliqué. Il en fallut peu au médecin pour établir un diagnostic : Claire est ressent une fatigue excessive, et le besoin d’être sans cesse plus entourée ; elle ne trouve plus de temps pour soi, mais elle culpabilise. Ce sont les premiers symptômes du burnout.
Claire est finalement le stéréotype du jeune parent actif : entre trente et quarante ans, trop de responsabilités au bureau, complètement débordé au quotidien. Claire n’a plus le temps de parler avec son conjoint : ils se croisent sans se voir, accaparés le soir par la gestion de la vie quotidienne de la famille. Les tensions s’accumulent au bureau comme à la maison. Un sentiment d’échec s’installe, en même temps qu’un problème de couple. La crise conjugale côtoie la crise de la quarantaine. Un jour, Claire se fit cette réflexion de manière amusée : « Et pourquoi moi, je n’aurais pas le droit d’avoir un assistant personnel ? » Claire entre « assistant personnel » dans son moteur de recherche. Et là, surprise : l’assistant personnel (à domicile, s’il vous plaît !), ça existe…
Une solution à portée de main ? L’exemple de l’assistant privé à domicile.
Nous avons voulu en savoir plus sur cette nouvelle tendance, importée d’outre-Atlantique. Aux Etats-Unis, des sociétés de services aux particuliers se sont spécialisées sur le segment des actifs débordés : chez Ask Sunday, par exemple, un assistant privé est affecté à votre compte et vous propose un accompagnement personnalisé à distance. Joignable par téléphone, par messagerie instantanée ou par mail, il intervient rapidement pour vous seconder dans les tâches du quotidien, qu’elles soient bureautiques (saisie de données) ou plus proches du secrétariat personnel (réservation d’un vol, gestion des correspondances). Autre exemple, celui de Lambent Services, qui propose cette fois-ci une assistance privée grâce à une présence ponctuelle de votre secrétaire personnel à domicile ou au bureau.
Le principal acteur de ce marché en France, Officeo, va plus loin en vous assurant une disponibilité aussi bien physique que virtuelle. Officeo propose une prise en charge globale de sa clientèle, lorsque celle-ci n’a pas le temps de s’occuper de tout. Comme, par exemple, de s’occuper de ses factures le week-end au détriment de sa vie de famille. Le concept d’assistant privé est présenté par Officeo comme un service à la carte, permettant aux gens overbookés d’externaliser leurs tracasseries quotidiennes : paperasse, dossiers en retard, démarches administratives, classement et archivage de documents, gestion du courrier, etc. Le principe est simple : Officeo dépêche à votre domicile un assistant privé polyvalent, trié sur le volet, et rompu aux tâches administratives de toutes sortes. Autrement dit, un secrétaire personnel s’emploie à vous libérer de votre charge de travail personnel, et donc… A vous libérer du temps. La formule d’Officeo paraît séduisante pour les cadres débordés : en quelques heures, votre assistant privé règle vos affaires courantes à votre place. Grâce à l’innovation, aucun problème si vous êtes en déplacement. Le coffre-fort numérique Officeo dans lequel votre interlocuteur aura soigneusement consigné vos papiers (factures, déclarations, correspondances, feuilles de soin…) est accessible en permanence, et surtout il est interactif : vous pouvez y déposer des instructions, elles seront aussitôt traitées par votre assistant privé. Autre bonne nouvelle: le système reste très abordable. Officeo bénéficie du statut d’entreprise agréée par l’Etat dans le domaine des services à la personne, ce qui ouvre droit à une réduction d’impôts de 50% par foyer fiscal.
Enfin, on ne saurait trop vous conseiller de vous renseigner sur ce dispositif fiscal: accessible à tous dans la limite d’un plafond de 12000 euros, il vaut également pour l’emploi d’une assistante ménagère à domicile, d’un jardinier… Alors soufflez. Prendre du temps pour soi et pour ses proches n’a pas de prix. Ou plutôt si : et il est, en fin de compte, très abordable.
La rédaction
En savoir plus sur ces avantages fiscaux
Le test de la solution Officeo par le magazine Avantages
Le site d’Officeo
L’interview de Patrick Soubeyran (fondateur d’Officeo)
Un article de La Tribune sur le secrétariat personnel
Claire est une jeune maman, accessoirement brillante avocate. Collaboratrice dans un cabinet réputé en droit des affaires, elle bénéficie d’un congé maternité qui s’avère éprouvant. Dès son retour à la vie active, elle souffre d’une anxiété caractérisée : ses jeunes collègues, eux-mêmes exténués, en restent distants. La tonalité de leur accueil ? « On a eu un boulot monstre pendant tes congés». Son supérieur, en guise de bienvenue, lui confie une pile insurmontable de dossiers urgents, comme pour lui signifier que son absence a engendré bien du retard dans la gestion des affaires courantes. Alors elle reste au bureau de 7H30 à 20H, débordée de travail, comme pour racheter le « temps perdu par sa faute ». Claire angoisse à l’idée de faire mal ou trop peu, mais peine à se concentrer : elle a confié la garde de son enfant à une personne qualifiée, mais inconnue. Le soir, elle rentre usée. Entre le ménage, la paperasse, et un conjoint en déplacement six mois de l’année, elle craque nerveusement.
D’abord un dialogue, ensuite un constat
Claire consulte son médecin généraliste : « j’avais besoin d’un remontant, je pensais qu’un excitant m’aiderait à avancer plus vite, et donc à me sentir moins submergée ». Mais au fil de leur entretien, les symptômes du surmenage s’imposent comme une évidence. Claire avait perdu toute estime en soi. Collaboratrice modèle, épouse parfaite, maman exemplaire… Tout devait être constamment ordonné, expédié. « Avez-vous parlé de votre surmenage à son supérieur ?» Elle répondit au médecin de famille qu’énoncer le mot « surmenage » auprès de la hiérarchie sonnerait comme un aveu d’échec, elle qui fut embauchée après son stage en reconnaissance de ses capacités de travail et de résistance au stress. De toute façon, pour légitimer le discours du surmenage, il faut montrer qu’on reste tard au travail. C’est très tendance lorsqu’on est un jeune cadre célibataire et ambitieux. Mais lorsqu’il s’agit de concilier une carrière, une vie de parent, et une volonté d’accomplissement personnel, c’est plus compliqué. Il en fallut peu au médecin pour établir un diagnostic : Claire est ressent une fatigue excessive, et le besoin d’être sans cesse plus entourée ; elle ne trouve plus de temps pour soi, mais elle culpabilise. Ce sont les premiers symptômes du burnout.
Claire est finalement le stéréotype du jeune parent actif : entre trente et quarante ans, trop de responsabilités au bureau, complètement débordé au quotidien. Claire n’a plus le temps de parler avec son conjoint : ils se croisent sans se voir, accaparés le soir par la gestion de la vie quotidienne de la famille. Les tensions s’accumulent au bureau comme à la maison. Un sentiment d’échec s’installe, en même temps qu’un problème de couple. La crise conjugale côtoie la crise de la quarantaine. Un jour, Claire se fit cette réflexion de manière amusée : « Et pourquoi moi, je n’aurais pas le droit d’avoir un assistant personnel ? » Claire entre « assistant personnel » dans son moteur de recherche. Et là, surprise : l’assistant personnel (à domicile, s’il vous plaît !), ça existe…
Une solution à portée de main ? L’exemple de l’assistant privé à domicile.
Nous avons voulu en savoir plus sur cette nouvelle tendance, importée d’outre-Atlantique. Aux Etats-Unis, des sociétés de services aux particuliers se sont spécialisées sur le segment des actifs débordés : chez Ask Sunday, par exemple, un assistant privé est affecté à votre compte et vous propose un accompagnement personnalisé à distance. Joignable par téléphone, par messagerie instantanée ou par mail, il intervient rapidement pour vous seconder dans les tâches du quotidien, qu’elles soient bureautiques (saisie de données) ou plus proches du secrétariat personnel (réservation d’un vol, gestion des correspondances). Autre exemple, celui de Lambent Services, qui propose cette fois-ci une assistance privée grâce à une présence ponctuelle de votre secrétaire personnel à domicile ou au bureau.
Le principal acteur de ce marché en France, Officeo, va plus loin en vous assurant une disponibilité aussi bien physique que virtuelle. Officeo propose une prise en charge globale de sa clientèle, lorsque celle-ci n’a pas le temps de s’occuper de tout. Comme, par exemple, de s’occuper de ses factures le week-end au détriment de sa vie de famille. Le concept d’assistant privé est présenté par Officeo comme un service à la carte, permettant aux gens overbookés d’externaliser leurs tracasseries quotidiennes : paperasse, dossiers en retard, démarches administratives, classement et archivage de documents, gestion du courrier, etc. Le principe est simple : Officeo dépêche à votre domicile un assistant privé polyvalent, trié sur le volet, et rompu aux tâches administratives de toutes sortes. Autrement dit, un secrétaire personnel s’emploie à vous libérer de votre charge de travail personnel, et donc… A vous libérer du temps. La formule d’Officeo paraît séduisante pour les cadres débordés : en quelques heures, votre assistant privé règle vos affaires courantes à votre place. Grâce à l’innovation, aucun problème si vous êtes en déplacement. Le coffre-fort numérique Officeo dans lequel votre interlocuteur aura soigneusement consigné vos papiers (factures, déclarations, correspondances, feuilles de soin…) est accessible en permanence, et surtout il est interactif : vous pouvez y déposer des instructions, elles seront aussitôt traitées par votre assistant privé. Autre bonne nouvelle: le système reste très abordable. Officeo bénéficie du statut d’entreprise agréée par l’Etat dans le domaine des services à la personne, ce qui ouvre droit à une réduction d’impôts de 50% par foyer fiscal.
Enfin, on ne saurait trop vous conseiller de vous renseigner sur ce dispositif fiscal: accessible à tous dans la limite d’un plafond de 12000 euros, il vaut également pour l’emploi d’une assistante ménagère à domicile, d’un jardinier… Alors soufflez. Prendre du temps pour soi et pour ses proches n’a pas de prix. Ou plutôt si : et il est, en fin de compte, très abordable.
La rédaction
En savoir plus sur ces avantages fiscaux
Le test de la solution Officeo par le magazine Avantages
Le site d’Officeo
L’interview de Patrick Soubeyran (fondateur d’Officeo)
Un article de La Tribune sur le secrétariat personnel