Les morsures, blessures et les questions d’hygiène ne sont pas les seuls risques à prendre en compte quand des animaux de compagnie cohabitent avec des enfants. D’après un article de Libération des traitements anti-puces sont dangereux pour la santé et peuvent avoir des conséquences dramatiques. « En effet, ils contiendraient des substances très toxiques, comme de la perméthrine, de la tétraméthrine et du fipronil. Ces produits sont dangereux pour les animaux : la perméthrine est mortelle pour les chats, rappelle le quotidien. Quant au fipronil, qu’on appelle aussi "tueur d’abeilles", était au cœur de la crise des œufs contaminés l’été dernier » abonde La Dépêche.
Les deux premières substances citées sont connues pour avoir des effets très nocifs sur les enfants et notamment la baisse des performances cognitives des enfants de moins de 6 ans. Trop exposés au perméthrine et à la tétraméthrine, ils risquent de voir leurs capacités à communiquer, à échanger avec leur entourage ou de mémoire. « Concernant le fipronil, ce produit a été classé cancérigène par l’Agence américaine de protection de l’environnement. Une étude publiée dans le Journal of Alzheimer’s disease affirme que cette substance engendre des changements dans le cerveau des rats caractéristiques de la maladie d’Alzheimer » précise le journal local.
Le problème de ces produits est que, contrairement à des produits ménagers dangereux, leur présence sur des animaux qui sont caressés et par principe proches des enfants implique la transmission des substances nocives. « Il existe cependant des alternatives naturelles aux anti-puces chimiques. La pyrèthre et le margosa sont respectivement une plante et un arbre reconnus comme ayant des propriétés répulsives et peuvent s’utiliser en shampoing par exemple. De nombreuses huiles essentielles peuvent aussi se vaporiser à l'intérieur du domicile, comme la citronnelle ou le géranium rosat. Certains vétérinaires recommandent aussi l’argile pour soigner les démangeaisons de nos animaux » s’empresse de proposer La Dépêche.
Les deux premières substances citées sont connues pour avoir des effets très nocifs sur les enfants et notamment la baisse des performances cognitives des enfants de moins de 6 ans. Trop exposés au perméthrine et à la tétraméthrine, ils risquent de voir leurs capacités à communiquer, à échanger avec leur entourage ou de mémoire. « Concernant le fipronil, ce produit a été classé cancérigène par l’Agence américaine de protection de l’environnement. Une étude publiée dans le Journal of Alzheimer’s disease affirme que cette substance engendre des changements dans le cerveau des rats caractéristiques de la maladie d’Alzheimer » précise le journal local.
Le problème de ces produits est que, contrairement à des produits ménagers dangereux, leur présence sur des animaux qui sont caressés et par principe proches des enfants implique la transmission des substances nocives. « Il existe cependant des alternatives naturelles aux anti-puces chimiques. La pyrèthre et le margosa sont respectivement une plante et un arbre reconnus comme ayant des propriétés répulsives et peuvent s’utiliser en shampoing par exemple. De nombreuses huiles essentielles peuvent aussi se vaporiser à l'intérieur du domicile, comme la citronnelle ou le géranium rosat. Certains vétérinaires recommandent aussi l’argile pour soigner les démangeaisons de nos animaux » s’empresse de proposer La Dépêche.