Ça cogite au Japon. Déjà, certains libraires ont pris des mesures pour endiguer la progression d’Amazon. Mais ce n’est pas tout, diverses initiatives émergent afin de vendre des livres autrement. Ainsi, on peut citer celle louable, de Yoshiyuki Morioka. Ce libraire tokyoïte a décidé de ne vendre qu’un livre par semaine. Ironie du sort, son concept fonctionne.
Le marché de la librairie est tel au Japon, saturé comme en France, que Yoshiyuki Morioka a voulu faire les choses autrement. Il a donc décidé de « créer, de façon hebdomadaire, l'émulation autour d'un seul ouvrage », cite lefigaro.fr. Le plus étonnant, c’est que son initiative a pris. Les lecteurs ont ainsi plus de temps pour découvrir et lire un roman. Surtout, ils voient leur choix simplifié.
Pas besoin d’hésiter et d’osciller entre un ouvrage et un autre : il n’y en a qu’un à vendre ! Contrairement à avant, où Yoshiyuki Morioka proposait deux cent ouvrages environ à la vente. Là, on va droit au but : un roman est proposé chaque semaine. Un titre « événement sélectionnée par le libraire. »
« C'est plutôt un service de suggestion de lecture. Les gens viennent, prennent le livre et s'en vont. Ils ne passent pas des heures à parcourir les rayons de livres », explique le libraire au Figaro. D’ailleurs, continue le quotidien, le magasin est minimaliste, avec seulement « deux tréteaux et une planche en bois sur laquelle sont déposés les nombreux exemplaires du livre. » Mieux vaut un bon livre, qu'une foultitude moyenne.
Le marché de la librairie est tel au Japon, saturé comme en France, que Yoshiyuki Morioka a voulu faire les choses autrement. Il a donc décidé de « créer, de façon hebdomadaire, l'émulation autour d'un seul ouvrage », cite lefigaro.fr. Le plus étonnant, c’est que son initiative a pris. Les lecteurs ont ainsi plus de temps pour découvrir et lire un roman. Surtout, ils voient leur choix simplifié.
Pas besoin d’hésiter et d’osciller entre un ouvrage et un autre : il n’y en a qu’un à vendre ! Contrairement à avant, où Yoshiyuki Morioka proposait deux cent ouvrages environ à la vente. Là, on va droit au but : un roman est proposé chaque semaine. Un titre « événement sélectionnée par le libraire. »
« C'est plutôt un service de suggestion de lecture. Les gens viennent, prennent le livre et s'en vont. Ils ne passent pas des heures à parcourir les rayons de livres », explique le libraire au Figaro. D’ailleurs, continue le quotidien, le magasin est minimaliste, avec seulement « deux tréteaux et une planche en bois sur laquelle sont déposés les nombreux exemplaires du livre. » Mieux vaut un bon livre, qu'une foultitude moyenne.