Est-ce dans la lignée du courant Made in France ? Peut-être, peut-être pas. Toujours est-il, le béret fait un retour remarqué sur les têtes bien faites. D’ailleurs, le cantonner au Made in France serait presque réducteur tant, ces derniers temps, il caracole partout. Comprendre, il pavoise sur la crête de la branchitude internationale, voire universelle : sur la tête du top model british Edie Campbell, sur les silhouettes du défilé Gucci Printemps-Été 2016, en paille et rayures bayadères. Voire, rayures « marinières », pour ceux qui ne peuvent dissocier le béret de l’hexagone ou du Pays Basque dont il est originaire. Mais ce n’est pas tout, il revient aussi en format XXL chez Maison Margiela, chez les Suédois d’Acne Studio, plus tradi et moins classique with a twist chez Paul & Joe… Bref, il est partout.
Bon, mais alors, pourquoi ce retour, là maintenant tout de suite ? D’abord, estime Rosabelle Forzy, la présidente de Laulhère, l’un des derniers fabricants de béret 100 % français, dont les propos ont été rapportés par 20minutes.fr, « c’est un classique, le renouveau était prévisible. » Une pièce intemporelle au même titre que la marinière ou le caban dans un registre maritime. Pour reprendre la métaphore marine, il est talonné par la casquette de marin, mais il résiste, plus universel. Dans le même esprit, « les gens veulent de l’authentique tout en étant dans le non-conformisme. Le béret symbolise tout cela à la fois », explique Rosabelle Forzy.
Aujourd’hui, pourtant, le béret a dépassé l’image franchouillarde de la baguette jambon-beurre. D'ailleurs, il peut très bien être technologique, être fabriqué dans des matières innovantes. Ses lignes aussi bougent, évoluent, se transforment. Ainsi, il allie parfaitement un mélange équilibré entre « savoir-faire et innovation » De quoi aller loin, et comme cela se passe aujourd’hui, dépasser les frontières du Pays Basque. Pour parader à Milan sur des têtes bien faites, mi-geek, mi-poétiques ? Oui.
Bon, mais alors, pourquoi ce retour, là maintenant tout de suite ? D’abord, estime Rosabelle Forzy, la présidente de Laulhère, l’un des derniers fabricants de béret 100 % français, dont les propos ont été rapportés par 20minutes.fr, « c’est un classique, le renouveau était prévisible. » Une pièce intemporelle au même titre que la marinière ou le caban dans un registre maritime. Pour reprendre la métaphore marine, il est talonné par la casquette de marin, mais il résiste, plus universel. Dans le même esprit, « les gens veulent de l’authentique tout en étant dans le non-conformisme. Le béret symbolise tout cela à la fois », explique Rosabelle Forzy.
Aujourd’hui, pourtant, le béret a dépassé l’image franchouillarde de la baguette jambon-beurre. D'ailleurs, il peut très bien être technologique, être fabriqué dans des matières innovantes. Ses lignes aussi bougent, évoluent, se transforment. Ainsi, il allie parfaitement un mélange équilibré entre « savoir-faire et innovation » De quoi aller loin, et comme cela se passe aujourd’hui, dépasser les frontières du Pays Basque. Pour parader à Milan sur des têtes bien faites, mi-geek, mi-poétiques ? Oui.