Le Français progresse dans le monde. Ce constat de l’Observatoire de la langue française (OIF) mérité d’être martelé tant on entend comme une évidence que notre langue recul. Avec un total de 300 millions de personnes qui le parlent au quotidien, c’est une belle progression de 30 millions par rapport à 2014. « Deuxième langue étrangère apprise dans l'Union européenne et les pays latino-américains après l'anglais, troisième langue des affaires et du commerce, quatrième langue sur Internet, en progression de 33% chez les apprenants du Français langue étrangère (FLE) en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, la langue française constitue bien une langue d'avenir. D'ailleurs, selon les nouvelles données de l'OIF, parmi les 59% de locuteurs quotidiens du français qui se trouvent sur le continent africain, «entre 80% et 100% des francophones d'Afrique et du monde arabe souhaitent que la langue française soit apprise par leur descendance» » ajoute Le Figaro .
A l’occasion du sommet en Arménie, l’OIF montre donc que le Français reste une langue internationale de premier plan. Pour autant la part des Africains dans le total est à prendre en compte si l’on veut évaluer le rôle de la langue comme soft power. Si l’on compare aux autres langues mieux classées : Mandarin, Anglais, Espagnol, Arabe les défis et opportunités sont très variables puisque le lien avec un Etat ou une poignée d’Etats est très variable. Pour ce qui est du Français : « Sur la seule région Afrique subsaharienne, plus de 30 millions d'enfants ne sont pas encore scolarisés et, d'autre part, les enquêtes du PASEC1 révèlent que 71% des enfants en deuxième année du primaire n'ont pas un niveau de français suffisant pour leur permettre de comprendre une information claire donnée oralement ou le sens d'une série de mots écrits » explique l’OIF, citée par le quotidien français. Reste qu’àà l’horizon 2070, la barre des 730 millions de francophones devrait être franchie
A l’occasion du sommet en Arménie, l’OIF montre donc que le Français reste une langue internationale de premier plan. Pour autant la part des Africains dans le total est à prendre en compte si l’on veut évaluer le rôle de la langue comme soft power. Si l’on compare aux autres langues mieux classées : Mandarin, Anglais, Espagnol, Arabe les défis et opportunités sont très variables puisque le lien avec un Etat ou une poignée d’Etats est très variable. Pour ce qui est du Français : « Sur la seule région Afrique subsaharienne, plus de 30 millions d'enfants ne sont pas encore scolarisés et, d'autre part, les enquêtes du PASEC1 révèlent que 71% des enfants en deuxième année du primaire n'ont pas un niveau de français suffisant pour leur permettre de comprendre une information claire donnée oralement ou le sens d'une série de mots écrits » explique l’OIF, citée par le quotidien français. Reste qu’àà l’horizon 2070, la barre des 730 millions de francophones devrait être franchie