200 millions de petites filles mutilées pour un phénomène qu’il faut comprendre pour l’endiguer. « Afrique, Moyen-Orient, Asie... 200 millions de femmes ont été victimes de mutilations sexuelles dans le monde, 125 000 en France selon le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié en juillet 2019. Des chiffres qui pourraient être revus à la hausse, selon les projections des Nations unies. La faute au Covid mais aussi à la guerre en Ukraine. Un terrible effet papillon » explique un article très détaillé de France 24 à ce sujet.
L’article vaut la peine d’être lu car il donne la parole à des victimes avec des récits glaçants. Mais aussi des perspectives plus larges qui montrent qu’il existe des moyens pour endiguer ce phénomène et lutter contre l’impunité. Que l’on explique ces pratiques barbares par des raisons culturelles ou religieuses, ce qui est certain c’est qu’elles témoignent d’une conception du corps de la femme.
Parfois ces femmes ignorent même qu’elles ont été excisées. "Je vois des femmes excisées quotidiennement ou au moins hebdomadairement. Une partie d’entre elles ne savent pas qu’elles l’ont été, confie Agathe André, sage-femme à l’hôpital de Nanterre, venue s’informer sur les violences sexuelles et sexistes à l’hôpital de Delafontaine. Il n’y a pas de façon idéale de le dire mais il est important qu’on les informe surtout quand elles accouchent d’une petite fille. Elles repartiront potentiellement au pays, ne serait-ce qu’en vacances. Il faut qu’elles aient l’information qu’en France, c’est interdit” » rapporte la chaine d’infos.
Alors que des accompagnements psychologiques doivent être réalisés en plus des chirurgies reconstructrices, la Belgique a fait le choix intéressant de mettre les hommes à contribution avec une campagne au slogan évocateur « Men speak out ». Rappelant ainsi que l’excision n’est pas qu’une affaire de femmes.
Lire ici en intégralité l’article de France 24
L’article vaut la peine d’être lu car il donne la parole à des victimes avec des récits glaçants. Mais aussi des perspectives plus larges qui montrent qu’il existe des moyens pour endiguer ce phénomène et lutter contre l’impunité. Que l’on explique ces pratiques barbares par des raisons culturelles ou religieuses, ce qui est certain c’est qu’elles témoignent d’une conception du corps de la femme.
Parfois ces femmes ignorent même qu’elles ont été excisées. "Je vois des femmes excisées quotidiennement ou au moins hebdomadairement. Une partie d’entre elles ne savent pas qu’elles l’ont été, confie Agathe André, sage-femme à l’hôpital de Nanterre, venue s’informer sur les violences sexuelles et sexistes à l’hôpital de Delafontaine. Il n’y a pas de façon idéale de le dire mais il est important qu’on les informe surtout quand elles accouchent d’une petite fille. Elles repartiront potentiellement au pays, ne serait-ce qu’en vacances. Il faut qu’elles aient l’information qu’en France, c’est interdit” » rapporte la chaine d’infos.
Alors que des accompagnements psychologiques doivent être réalisés en plus des chirurgies reconstructrices, la Belgique a fait le choix intéressant de mettre les hommes à contribution avec une campagne au slogan évocateur « Men speak out ». Rappelant ainsi que l’excision n’est pas qu’une affaire de femmes.
Lire ici en intégralité l’article de France 24