À l'heure actuelle, comme l'explique l'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM), les traitements associent selon les cas la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie, mais ils ne permettent souvent pas la guérison définitive. Les équipes de l'ICM travaillent ainsi pour mieux comprendre comment se développent ces tumeurs afin de mieux les diagnostiquer et de mettre en place des stratégies thérapeutiques innovantes et personnalisées.
Lorsqu'une cellule devient cancéreuse, elle se multiplie indéfiniment et de façon anarchique et finit par former une tumeur, c'est à dire un amas de nouvelles cellules au sein d'un tissu normal.
Une tumeur cérébrale peut se développer à partir de n'importe quelle zone du cerveau. On distingue deux types de tumeurs : d'une part, les tumeurs cérébrales primitives, qui prennent naissance directement dans le cerveau ; d'autre part les tumeurs cérébrales secondaires ou métastatiques ou secondaires qui proviennent d'un cancer initialement dans un autre organe que le cerveau (par exemple dans le poumon, le colon, la peau, ou le sein).
Lorsqu'une cellule devient cancéreuse, elle se multiplie indéfiniment et de façon anarchique et finit par former une tumeur, c'est à dire un amas de nouvelles cellules au sein d'un tissu normal.
Une tumeur cérébrale peut se développer à partir de n'importe quelle zone du cerveau. On distingue deux types de tumeurs : d'une part, les tumeurs cérébrales primitives, qui prennent naissance directement dans le cerveau ; d'autre part les tumeurs cérébrales secondaires ou métastatiques ou secondaires qui proviennent d'un cancer initialement dans un autre organe que le cerveau (par exemple dans le poumon, le colon, la peau, ou le sein).
La radiothérapie, traitement essentiel des tumeurs cérébrales
Les tumeurs malignes sont des tumeurs qui se développent rapidement entraînant la destruction de la région du cerveau dans laquelle elles se trouvent.
Aujourd'hui, il est encore difficile de détecter une tumeur cérébrale avant que celle-ci ne soit visible à l'IRM (technique d'imagerie par résonnance magnétique). Néanmoins, la recherche de biomarqueurs constitue une stratégie pour diagnostiquer les tumeurs précocement. Les biomarqueurs sont des molécules présentes dans le sang, les urines ou le liquide céphalo-rachidien (LCR), qui témoignent de la présence de la tumeur dans le cerveau. Identifier les biomarqueurs pourrait permettre d'établir directement le diagnostic de la tumeur, sans avoir recours à une chirurgie, et de la traiter de manière efficace.
Les traitements actuellement disponibles des tumeurs cérébrales sont essentiellement la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie. Certaines tumeurs sont bien délimitées et non envahissantes et la chirurgie peut alors parfois permettre la guérison. Le plus souvent cependant, elles sont mal délimitées, envahissent en partie le cerveau et nécessitent le recours à la radiothérapie et/ou chimiothérapie. Ces traitements permettent en général une rémission de la tumeur. Néanmoins, une surveillance à vie est préconisée en raison du risque important de récidive.
Aujourd'hui, il est encore difficile de détecter une tumeur cérébrale avant que celle-ci ne soit visible à l'IRM (technique d'imagerie par résonnance magnétique). Néanmoins, la recherche de biomarqueurs constitue une stratégie pour diagnostiquer les tumeurs précocement. Les biomarqueurs sont des molécules présentes dans le sang, les urines ou le liquide céphalo-rachidien (LCR), qui témoignent de la présence de la tumeur dans le cerveau. Identifier les biomarqueurs pourrait permettre d'établir directement le diagnostic de la tumeur, sans avoir recours à une chirurgie, et de la traiter de manière efficace.
Les traitements actuellement disponibles des tumeurs cérébrales sont essentiellement la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie. Certaines tumeurs sont bien délimitées et non envahissantes et la chirurgie peut alors parfois permettre la guérison. Le plus souvent cependant, elles sont mal délimitées, envahissent en partie le cerveau et nécessitent le recours à la radiothérapie et/ou chimiothérapie. Ces traitements permettent en général une rémission de la tumeur. Néanmoins, une surveillance à vie est préconisée en raison du risque important de récidive.