Qu’entend-t-on par l’effet wahou, mis à part le son « Waaaaah » ?
Il s’agit d’un concept marketing qui permet d’étonner son interlocuteur, et plus précisément le consommateur. Il s’agit principalement d’épater par un sentiment fort d’innovation présenté par un produit ou un service. Il s’agit pour l’émetteur d’une communication du récepteur qui indique très précisément à la fois une compréhension, une adhésion, l’admiration, et surtout c’est l’indication d’une affaire qui va être conclue.
lien avec les entrepreneurs ?
Le lieu commun, au premier abord s’avère la capacité de persuasion. Autour d’un pitch, qui permet de convaincre en un minimum de temps, l’entrepreneur, avec dans la plupart des cas un caractère bien trempé, va actionner la machine séduction tout comme le bon commercial.
Autant la relation de sensibilité est commune, car l’entrepreneur comme le marketeur y croit réellement. Mais, ce qui les différentie dans la plupart des cas, c’est la passion, le fait de mettre ses tripes sur la table pour un dessein sans doute un peu fou.
Quelle relation avec la vie privée ?
Ce côté un peu déjanté plaît, y compris à la ville, non seulement pour distraire mais aussi pour être visible. C’est une des vertus de l’effet réseau qui permet de se différencier. La grande distinction du « whaou » de l’entrepreneur, c’est sans doute une sorte d’obsession, et même d’obstination. Le créateur d’entreprise vit pour cela 24h/24. Son « bébé » l’empêche de dormir, il n’arrête pas d’y penser même sous la douche. Alors, le vie privée est forcément sollicitée avec un fort esprit entrepreneurial.
Autant le conjoint, la famille, les enfants peuvent adhérer au départ, et dire « whaou ». Autant, ces derniers peuvent vite déchanter par un déséquilibre des relations personnelles. Cet aspect est loin d’être négligeable, puisqu’il conditionne l’équilibre de vie d’un individu. Ainsi, le « débranche » s’avère un ordre tout à fait bienveillant de l’entourage proche au point de devenir fou, aussi bien pour les uns que pour les autres. Le phénomène d’addiction de l’entrepreneur fait son apparition. Il ne s’agit pas d’une maladie, mais plutôt d’un mal qui peut isoler de toute vie sociale.
Il est donc important que l’entrepreneur puisse bénéficier d’un équilibre vie privée / vie professionnelle de manière à prendre un maximum de recul et pouvoir décider en toute connaissance de cause.
Quelle réconciliation avec les salariés et les fonctionnaires ?
« Whaou », c’est bien évidemment ce qui doit venir de tous les collaborateurs afin d’activer le leadership du dirigeant et de motiver les équipes. Et justement, s’agit-il d’un grand écart entre un entrepreneur issu de la sphère privée et des salariés, des employés du secteur public. Même pour des dirigeants salariés ou des cadres de l’administration, les passions et la créativité les réunissent. Leurs objectifs sont sans aucun doute communs. Ce n’est qu’une histoire de temps des décisions, là où l’entrepreneur est le seul à ne pas avoir le luxe d’attendre. « Wahou » s’exprime aussi pour la vitesse d’exécution.
Il s’agit d’un concept marketing qui permet d’étonner son interlocuteur, et plus précisément le consommateur. Il s’agit principalement d’épater par un sentiment fort d’innovation présenté par un produit ou un service. Il s’agit pour l’émetteur d’une communication du récepteur qui indique très précisément à la fois une compréhension, une adhésion, l’admiration, et surtout c’est l’indication d’une affaire qui va être conclue.
lien avec les entrepreneurs ?
Le lieu commun, au premier abord s’avère la capacité de persuasion. Autour d’un pitch, qui permet de convaincre en un minimum de temps, l’entrepreneur, avec dans la plupart des cas un caractère bien trempé, va actionner la machine séduction tout comme le bon commercial.
Autant la relation de sensibilité est commune, car l’entrepreneur comme le marketeur y croit réellement. Mais, ce qui les différentie dans la plupart des cas, c’est la passion, le fait de mettre ses tripes sur la table pour un dessein sans doute un peu fou.
Quelle relation avec la vie privée ?
Ce côté un peu déjanté plaît, y compris à la ville, non seulement pour distraire mais aussi pour être visible. C’est une des vertus de l’effet réseau qui permet de se différencier. La grande distinction du « whaou » de l’entrepreneur, c’est sans doute une sorte d’obsession, et même d’obstination. Le créateur d’entreprise vit pour cela 24h/24. Son « bébé » l’empêche de dormir, il n’arrête pas d’y penser même sous la douche. Alors, le vie privée est forcément sollicitée avec un fort esprit entrepreneurial.
Autant le conjoint, la famille, les enfants peuvent adhérer au départ, et dire « whaou ». Autant, ces derniers peuvent vite déchanter par un déséquilibre des relations personnelles. Cet aspect est loin d’être négligeable, puisqu’il conditionne l’équilibre de vie d’un individu. Ainsi, le « débranche » s’avère un ordre tout à fait bienveillant de l’entourage proche au point de devenir fou, aussi bien pour les uns que pour les autres. Le phénomène d’addiction de l’entrepreneur fait son apparition. Il ne s’agit pas d’une maladie, mais plutôt d’un mal qui peut isoler de toute vie sociale.
Il est donc important que l’entrepreneur puisse bénéficier d’un équilibre vie privée / vie professionnelle de manière à prendre un maximum de recul et pouvoir décider en toute connaissance de cause.
Quelle réconciliation avec les salariés et les fonctionnaires ?
« Whaou », c’est bien évidemment ce qui doit venir de tous les collaborateurs afin d’activer le leadership du dirigeant et de motiver les équipes. Et justement, s’agit-il d’un grand écart entre un entrepreneur issu de la sphère privée et des salariés, des employés du secteur public. Même pour des dirigeants salariés ou des cadres de l’administration, les passions et la créativité les réunissent. Leurs objectifs sont sans aucun doute communs. Ce n’est qu’une histoire de temps des décisions, là où l’entrepreneur est le seul à ne pas avoir le luxe d’attendre. « Wahou » s’exprime aussi pour la vitesse d’exécution.
