Les deux pays seraient d’accord sur le principe de cette médiation européenne, affirme l’Élysée. « Le président français Emmanuel Macron a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi que l'Arménie a accepté de faciliter la mise en place d'une mission civile de l'Union européenne le long de la frontière avec l'Azerbaïdjan, qui a accepté de coopérer. "Objectif de cette mission : établir la confiance et contribuer aux commissions frontalières", a écrit le chef de l'État sur Twitter. En marge du sommet de Prague, Emmanuel Macron a pris part à une réunion quadrilatérale avec le président azerbaïdjanais Ilham Aliev, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian et le président du Conseil européen Charles Michel, a rapporté l'Élysée » relaye Reuters.
Sans que l’on connaisse encore les détails de cette mission européenne, l’Élysée a affirmé dans un communiqué qu’elle devrait débiter dans les prochains jours et devrait durer jusqu’à deux mois. « Arménie et Azerbaïdjan ont "confirmé leur attachement à la Charte des Nations unies et à la déclaration d'Alma Ata de 1991, par laquelle ils reconnaissent mutuellement leur intégrité territoriale et leur souveraineté", a-t-elle écrit.
Les deux pays ont confirmé que le document servirait "de base aux travaux des commissions de délimitation des frontières", dont la prochaine réunion aura lieu à Bruxelles d'ici la fin du mois, a ajouté l'Élysée.
« L'Arménie a accepté de faciliter la mise en place d'une mission civile de l'UE le long de la frontière avec l'Azerbaïdjan. L'Azerbaïdjan a accepté de coopérer avec cette mission pour ce qui le concerne. La mission débutera en octobre pour une durée maximale de deux mois. L'objectif de cette mission est d'établir la confiance et, par ses rapports, de contribuer aux commissions de délimitation des frontières » a déclaré la présidence française dans un autre communiqué publiée le 7 octobre. Privilégiant la voie de la médiation dans ce dossier, l’Élysée n’a pas mentionné le fait qu’il s’agissait d’une invasion d’une partie du territoire arménien reconnu par la communauté internationale.
Sans que l’on connaisse encore les détails de cette mission européenne, l’Élysée a affirmé dans un communiqué qu’elle devrait débiter dans les prochains jours et devrait durer jusqu’à deux mois. « Arménie et Azerbaïdjan ont "confirmé leur attachement à la Charte des Nations unies et à la déclaration d'Alma Ata de 1991, par laquelle ils reconnaissent mutuellement leur intégrité territoriale et leur souveraineté", a-t-elle écrit.
Les deux pays ont confirmé que le document servirait "de base aux travaux des commissions de délimitation des frontières", dont la prochaine réunion aura lieu à Bruxelles d'ici la fin du mois, a ajouté l'Élysée.
« L'Arménie a accepté de faciliter la mise en place d'une mission civile de l'UE le long de la frontière avec l'Azerbaïdjan. L'Azerbaïdjan a accepté de coopérer avec cette mission pour ce qui le concerne. La mission débutera en octobre pour une durée maximale de deux mois. L'objectif de cette mission est d'établir la confiance et, par ses rapports, de contribuer aux commissions de délimitation des frontières » a déclaré la présidence française dans un autre communiqué publiée le 7 octobre. Privilégiant la voie de la médiation dans ce dossier, l’Élysée n’a pas mentionné le fait qu’il s’agissait d’une invasion d’une partie du territoire arménien reconnu par la communauté internationale.