« On a un joli projet sur les émotions des voyageurs, sur la cristallisation de cet espace-temps, ce « no man's land » qu'est l'aéroport ». C’est en ces termes que le créateur français Jean-Charles de Castelbajac a expliqué son projet qui le lie aux aéroports de Paris (ADP). Il a en effet été choisi pour redécorer la façade du terminal sud d'Orly.
Au mois de novembre prochain, les voyageurs devraient donc découvrir la fresque qui recouvrira les murs. Pour ce faire, Jean-Charles de Castelbajac a commencé cette semaine à dessiner. L’idée est de mettre en scène des histoires vécues par les passagers et le personnel dans l'aérogare. Pour réaliser son immense fresque, le créateur convoque également ses souvenirs, des anecdotes personnelles.
Pour certains, surtout pour les phobiques de l’avion, l’aéroport peut représenter un endroit stressant. C’est un lieu de transit, de départ, de séparation. À l’inverse, c’est aussi un lieu de joie, d'aventures et de retrouvailles. C’est la raison pour laquelle, l’émotion est au centre du projet. Jean-Charles de Castelbajac a donc imaginé un enfant et sa peluche rouge, des amoureux en rose, un musicien vert... Tous portent de petites ailes qui sont d’ailleurs sa signature.
Le projet emballe Jean-Charles de Castelbajc : « j'ai une chance formidable, on me permet de dessiner sur les murs, c'est le rêve de ma vie. D'habitude, je le fais en toute discrétion », rapporte Le Figaro. D’ailleurs, il y a quelques années, le dessinateur avait déjà et de façon complètement officieuse, crayonné sur les murs de l’aéroport. Aéroport qu’il connaît bien, car il l'emprunte régulièrement pour se rendre dans sa propriété du sud-ouest de la France.
On ne doute pas de l’imagination de Jean-Charles de Castelbajac. Mais s’il était en panne d’inspiration, il pourrait puiser dans les récits, anecdotes et histoires que les 29 millions de passagers annuels d’Orly sont invités à poster sur le site d’ADP, dans la rubrique, welcomestories.adp.fr. C’est d’ailleurs sur cet échange de bons procédés que s’appuie le projet. Jean-Charles de Castelbajac sélectionnera des histoires de passagers afin de les retranscrire en dessins. Si l’émotion est présente, la fresque est également colossale : « une des plus grandes au monde », précise Monsieur Telitsi, le directeur du terminal ouest. Et pour le créateur, une page blanche de 200 mètres de long et de 17 mètres de hauteur à remplir.
Au mois de novembre prochain, les voyageurs devraient donc découvrir la fresque qui recouvrira les murs. Pour ce faire, Jean-Charles de Castelbajac a commencé cette semaine à dessiner. L’idée est de mettre en scène des histoires vécues par les passagers et le personnel dans l'aérogare. Pour réaliser son immense fresque, le créateur convoque également ses souvenirs, des anecdotes personnelles.
Pour certains, surtout pour les phobiques de l’avion, l’aéroport peut représenter un endroit stressant. C’est un lieu de transit, de départ, de séparation. À l’inverse, c’est aussi un lieu de joie, d'aventures et de retrouvailles. C’est la raison pour laquelle, l’émotion est au centre du projet. Jean-Charles de Castelbajac a donc imaginé un enfant et sa peluche rouge, des amoureux en rose, un musicien vert... Tous portent de petites ailes qui sont d’ailleurs sa signature.
Le projet emballe Jean-Charles de Castelbajc : « j'ai une chance formidable, on me permet de dessiner sur les murs, c'est le rêve de ma vie. D'habitude, je le fais en toute discrétion », rapporte Le Figaro. D’ailleurs, il y a quelques années, le dessinateur avait déjà et de façon complètement officieuse, crayonné sur les murs de l’aéroport. Aéroport qu’il connaît bien, car il l'emprunte régulièrement pour se rendre dans sa propriété du sud-ouest de la France.
On ne doute pas de l’imagination de Jean-Charles de Castelbajac. Mais s’il était en panne d’inspiration, il pourrait puiser dans les récits, anecdotes et histoires que les 29 millions de passagers annuels d’Orly sont invités à poster sur le site d’ADP, dans la rubrique, welcomestories.adp.fr. C’est d’ailleurs sur cet échange de bons procédés que s’appuie le projet. Jean-Charles de Castelbajac sélectionnera des histoires de passagers afin de les retranscrire en dessins. Si l’émotion est présente, la fresque est également colossale : « une des plus grandes au monde », précise Monsieur Telitsi, le directeur du terminal ouest. Et pour le créateur, une page blanche de 200 mètres de long et de 17 mètres de hauteur à remplir.