Il est des entreprises qui ne ressemblent pas aux autres, qui font la différence. C'est le cas du groupe Interconstruction qui, dans son secteur – l'immobilier, sort du lot.
A quoi cela tient-il ? Beaucoup de professionnalisme, un engagement éthique affirmé, mais aussi – et surtout – un patron, Marc Villand, qui incarne une vision du métier exigeante et sensible.
Un constructeur farouchement indépendant
Diplômé de Sciences-Po Paris, grand sportif, cyclotouriste infatigable, mais aussi auteur de romans historiques, Marc Villand découvre très vite toutes les facettes du métier du développement immobilier, notamment au sein du groupe SARI-SEERI, devenu Nexity. Mais il se sent plus l'étoffe d'un entrepreneur, d'un chef d'entreprise. Quand son heure sonne, il reprend en 2003 Interconstruction, groupe de promotion immobilière francilien (alors détenu par Jean de Robert de Lafregeyre) dont il fait redémarrer l'activité avec constance et pugnacité.
Entouré d'une équipe resserrée, il parvient à le faire grandir, à diversifier ses savoir-faire (logements collectifs et individuels, bureaux, commerces, résidences avec services, équipements publics…), à innover sur le terrain du développement durable et des techniques de construction novatrices, tout en restant – il faut le souligner - totalement indépendant.
Très bien implanté en Île-de-France et sur l'arc atlantique, notamment sur le marché résidentiel – en locatif ou en accession à la propriété, avec des capitaux propres en très forte progression au fil des années, le groupe Interconstruction est aujourd'hui un acteur majeur du renouvellement urbain et de la mixité sociale.
Pourtant à la différence de ses principaux concurrents (comme Nexity, Bouygues Immobilier, BNP Paribas Real Estate, Immobilière 3F, Kaufmann & broad, Sogeprom, Vinci Immobilier, Eiffage Immobilier, ou Les Nouveaux Constructeurs...), Interconstruction est une entreprise de moins de 50 personnes, mais qui – à l'égal des plus grands – réussit à initier et promouvoir des opérations d'envergure. Pour preuve, la réalisation récente de l'Eco Campus, pour le compte d’Orange, un programme développant 72 000 mètres carrés de bureaux et d'activités à Châtillon, dans les Hauts-de-Seine.
Un développement responsable
Sa stratégie est celle d'une croissance organique raisonnée, volonté que son président revendique ouvertement : « Nous ne voulons pas grandir au détriment de la qualité des opérations. Nous voulons nous développer en préservant notre exigence de qualité, qui repose en grande partie sur le recrutement et la formation de collaborateurs qui portent les valeurs du groupe. Nous n’envisageons pas de croissance externe. Nous avons créé ex nihilo notre filiale Interconstruction Ouest et notre filiale tertiaire Interconstruction REM ».
Et les récompenses ne manquent pas de venir confirmer son succès, la dernière en date étant le Prix de la conduite responsable des opérations décerné en 2017 par la Fédération des Promoteurs Immobiliers Île-de-France pour son programme Regards en Seine à Saint-Cloud, dans les Hauts-de-Seine.
Cette distinction illustre l'esprit de pionnier dont Interconstruction fait preuve : un projet singulier développé sur un terrain de l'ADAPT (association pour l'insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées), une construction difficile à flanc de colline dans une zone urbaine dense, une déconstruction-reconstruction pierre à pierre d'un pavillon du Second Empire avec l'aide d'un architecte en chef des Monuments historiques et des associations locales de sauvegarde de l'environnement, une composante de logements sociaux à 30%, une certification garante d'un niveau supérieur de qualité technique, environnementale et de confort (Qualitel H & E profil A), deux vastes murs végétaux... Autant dire : du sur mesure.
Preuve qu'un promoteur de taille moyenne, rompu à la réalisation de projets complexes sur des sites sensibles, peut créer de la vie locale dans la durée, orchestrer le travail d'une myriade de partenaires, sous-traitants et parties prenantes, tout en se pliant aux réalités du marché du logement neuf.
Un habitat avant-gardiste
Chez interconstruction, le souci de la qualité se manifeste à toutes les étapes des projets : choix de sites à développer près des services et des transports, montage de programmes répondant à des besoins multiples pour revitaliser des quartiers, méthode de gestion interne qui privilégie des relations durables avec les partenaires et les prestataires du BTP, quête de confort et d'harmonie pour les habitants, connaissance des besoins des locataires et acquéreurs pour réussir la commercialisation dans chaque micromarché... Les usagers finaux des bâtiments sont toujours des hommes, des femmes, des enfants, des familles. Et Marc Villand, Président-Directeur général Interconstruction, les place au cœur de l'habitat.
Car il est animé d'une vision de l'art de bâtir : « Le logement du XXIe siècle sera évidemment connecté, mais aussi flexible, avec des possibilités d’extension. Les immeubles intégreront des espaces communs dotés de plus de services, par exemple des locaux à vélos avec des stations d’outillage, des laveries ou des espaces privatisés de livraison, mais aussi des espaces extérieurs privés et communs, notamment des potagers… Il s’agira d’un logement à la fois plus numérique et plus authentique ».
Une œuvre d'art unique pour chaque réalisation
Il va plus loin encore : « Nous sommes aussi engagés dans le développement d’une politique culturelle qui est nous est propre : nous signons chacune de nos opérations par une œuvre d’art inédite, créée spécialement. Elle se nourrit du lieu où elle prend place ; elle en change la physionomie une fois installée. Nous intégrons systématiquement des peintures, des sculptures ou des photographies dans nos bâtiments. Car nous souhaitons faire vivre l'art dans nos constructions, nous voulons rester dans l'intensité et dans la représentation du vivant, nous tenons à faire dialoguer l'architecture et l'art contemporain ».
Et bientôt ni la vidéo, ni même le cinéma ne manqueront à l'appel, et pourront être intégrés dans les bâtiments…
Interconstruction est ainsi le mécène, du 17 novembre au 18 janvier 2018, de l'exposition « Clouzot et les arts plastiques, une suite contemporaine » à la Topographie de l'art, vaste lieu dédié à l'art au cœur de Paris. Une nouvelle source d'inspiration et de motivation pour Marc Villand : « Henri-Georges Clouzot était très attaché à l’esthétisme, on le voit d’ailleurs approcher de la folie en raison de cette recherche absolue. La première valeur d’un bâtiment doit aussi être l’esthétisme. C’est une notion qui a été oubliée dans les années 60 à 70 pour lui préférer la fonctionnalité et la production de masse. Aujourd’hui cette notion revient en force aux côtés de celle de pérennité du bâtiment. Désormais, les barres d’immeubles sont vouées à la démolition, mais on conservera les bâtiments haussmanniens, les immeubles de Gaudi, ainsi que les immeubles présentant des innovations architecturales. Le premier critère de développement durable doit toujours être la beauté car c’est ce qui reste, et ce qu’on ne détruit pas ».
Une façon, peu habituelle pour un promoteur immobilier, de décrire son métier – un métier qu'il aime.
A quoi cela tient-il ? Beaucoup de professionnalisme, un engagement éthique affirmé, mais aussi – et surtout – un patron, Marc Villand, qui incarne une vision du métier exigeante et sensible.
Un constructeur farouchement indépendant
Diplômé de Sciences-Po Paris, grand sportif, cyclotouriste infatigable, mais aussi auteur de romans historiques, Marc Villand découvre très vite toutes les facettes du métier du développement immobilier, notamment au sein du groupe SARI-SEERI, devenu Nexity. Mais il se sent plus l'étoffe d'un entrepreneur, d'un chef d'entreprise. Quand son heure sonne, il reprend en 2003 Interconstruction, groupe de promotion immobilière francilien (alors détenu par Jean de Robert de Lafregeyre) dont il fait redémarrer l'activité avec constance et pugnacité.
Entouré d'une équipe resserrée, il parvient à le faire grandir, à diversifier ses savoir-faire (logements collectifs et individuels, bureaux, commerces, résidences avec services, équipements publics…), à innover sur le terrain du développement durable et des techniques de construction novatrices, tout en restant – il faut le souligner - totalement indépendant.
Très bien implanté en Île-de-France et sur l'arc atlantique, notamment sur le marché résidentiel – en locatif ou en accession à la propriété, avec des capitaux propres en très forte progression au fil des années, le groupe Interconstruction est aujourd'hui un acteur majeur du renouvellement urbain et de la mixité sociale.
Pourtant à la différence de ses principaux concurrents (comme Nexity, Bouygues Immobilier, BNP Paribas Real Estate, Immobilière 3F, Kaufmann & broad, Sogeprom, Vinci Immobilier, Eiffage Immobilier, ou Les Nouveaux Constructeurs...), Interconstruction est une entreprise de moins de 50 personnes, mais qui – à l'égal des plus grands – réussit à initier et promouvoir des opérations d'envergure. Pour preuve, la réalisation récente de l'Eco Campus, pour le compte d’Orange, un programme développant 72 000 mètres carrés de bureaux et d'activités à Châtillon, dans les Hauts-de-Seine.
Un développement responsable
Sa stratégie est celle d'une croissance organique raisonnée, volonté que son président revendique ouvertement : « Nous ne voulons pas grandir au détriment de la qualité des opérations. Nous voulons nous développer en préservant notre exigence de qualité, qui repose en grande partie sur le recrutement et la formation de collaborateurs qui portent les valeurs du groupe. Nous n’envisageons pas de croissance externe. Nous avons créé ex nihilo notre filiale Interconstruction Ouest et notre filiale tertiaire Interconstruction REM ».
Et les récompenses ne manquent pas de venir confirmer son succès, la dernière en date étant le Prix de la conduite responsable des opérations décerné en 2017 par la Fédération des Promoteurs Immobiliers Île-de-France pour son programme Regards en Seine à Saint-Cloud, dans les Hauts-de-Seine.
Cette distinction illustre l'esprit de pionnier dont Interconstruction fait preuve : un projet singulier développé sur un terrain de l'ADAPT (association pour l'insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées), une construction difficile à flanc de colline dans une zone urbaine dense, une déconstruction-reconstruction pierre à pierre d'un pavillon du Second Empire avec l'aide d'un architecte en chef des Monuments historiques et des associations locales de sauvegarde de l'environnement, une composante de logements sociaux à 30%, une certification garante d'un niveau supérieur de qualité technique, environnementale et de confort (Qualitel H & E profil A), deux vastes murs végétaux... Autant dire : du sur mesure.
Preuve qu'un promoteur de taille moyenne, rompu à la réalisation de projets complexes sur des sites sensibles, peut créer de la vie locale dans la durée, orchestrer le travail d'une myriade de partenaires, sous-traitants et parties prenantes, tout en se pliant aux réalités du marché du logement neuf.
Un habitat avant-gardiste
Chez interconstruction, le souci de la qualité se manifeste à toutes les étapes des projets : choix de sites à développer près des services et des transports, montage de programmes répondant à des besoins multiples pour revitaliser des quartiers, méthode de gestion interne qui privilégie des relations durables avec les partenaires et les prestataires du BTP, quête de confort et d'harmonie pour les habitants, connaissance des besoins des locataires et acquéreurs pour réussir la commercialisation dans chaque micromarché... Les usagers finaux des bâtiments sont toujours des hommes, des femmes, des enfants, des familles. Et Marc Villand, Président-Directeur général Interconstruction, les place au cœur de l'habitat.
Car il est animé d'une vision de l'art de bâtir : « Le logement du XXIe siècle sera évidemment connecté, mais aussi flexible, avec des possibilités d’extension. Les immeubles intégreront des espaces communs dotés de plus de services, par exemple des locaux à vélos avec des stations d’outillage, des laveries ou des espaces privatisés de livraison, mais aussi des espaces extérieurs privés et communs, notamment des potagers… Il s’agira d’un logement à la fois plus numérique et plus authentique ».
Une œuvre d'art unique pour chaque réalisation
Il va plus loin encore : « Nous sommes aussi engagés dans le développement d’une politique culturelle qui est nous est propre : nous signons chacune de nos opérations par une œuvre d’art inédite, créée spécialement. Elle se nourrit du lieu où elle prend place ; elle en change la physionomie une fois installée. Nous intégrons systématiquement des peintures, des sculptures ou des photographies dans nos bâtiments. Car nous souhaitons faire vivre l'art dans nos constructions, nous voulons rester dans l'intensité et dans la représentation du vivant, nous tenons à faire dialoguer l'architecture et l'art contemporain ».
Et bientôt ni la vidéo, ni même le cinéma ne manqueront à l'appel, et pourront être intégrés dans les bâtiments…
Interconstruction est ainsi le mécène, du 17 novembre au 18 janvier 2018, de l'exposition « Clouzot et les arts plastiques, une suite contemporaine » à la Topographie de l'art, vaste lieu dédié à l'art au cœur de Paris. Une nouvelle source d'inspiration et de motivation pour Marc Villand : « Henri-Georges Clouzot était très attaché à l’esthétisme, on le voit d’ailleurs approcher de la folie en raison de cette recherche absolue. La première valeur d’un bâtiment doit aussi être l’esthétisme. C’est une notion qui a été oubliée dans les années 60 à 70 pour lui préférer la fonctionnalité et la production de masse. Aujourd’hui cette notion revient en force aux côtés de celle de pérennité du bâtiment. Désormais, les barres d’immeubles sont vouées à la démolition, mais on conservera les bâtiments haussmanniens, les immeubles de Gaudi, ainsi que les immeubles présentant des innovations architecturales. Le premier critère de développement durable doit toujours être la beauté car c’est ce qui reste, et ce qu’on ne détruit pas ».
Une façon, peu habituelle pour un promoteur immobilier, de décrire son métier – un métier qu'il aime.