Tinder
Être célibataire, c’est la fin du monde ? Pour beaucoup, cette idée reste ancrée dans l’inconscient collectif comme un échec. Pour d’autres, elle est complètement galvaudée. Les résultats d'une étude menée par des chercheurs de l'Université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, vont d’ailleurs dans ce sens : vivre en couple ne rendrait pas forcément heureux. Et inversement, les célibataires peuvent être aussi heureux qu'en couple. C’est en substance les conclusions de cette enquête, rapporte Le Figaro : « beaucoup d'études prouvent que les célibataires ont tendance à être moins heureux que les personnes en couple. Mais cela n'est pas nécessairement vrai pour tout le monde. Les célibataires aussi peuvent mener une existence épanouissante», précise Yuthika Girme, une des chercheuses à l’origine du projet, notamment si ces personnes redoutent les conflits.
Pour ce faire, plus de 4 000 Néo-Zélandais âgés de 18 à 94 ans ont été interrogés. Deux listes distinctes ont été dressées : les personnes qui par nature, cherchent à éviter les situations de conflit dans une relation. De l’autre côté, ont été rangés les individus qui ne craignent ni les désaccords ni les points de discorde. Une constante se dégage : les personnes qui redoutent les conflits sont aussi heureuses seules qu’en vivant à deux, voire plus ! Être célibataire serait un moyen d’éviter l’angoisse de disputes potentielles. Les autres, ceux qui n'ont pas peur des hauts et des bas, ni des désaccords, se révèlent plus heureux en couple. Finalement, c’est assez simple !
En France, selon l’INSEE, l’Institut national de la statistique et des études économiques, plus de 50% des Parisiens vivaient en solo en 2014 contre 45% de couples mariés. Aujourd’hui, on est loin de passer pour inadapté en vivant seul. Surtout, cette situation peut présenter des avantages pratiques, une certaine liberté, et de fait, un certain confort de vie. Ainsi, la psychologue Dominique Lefèvre, a répondu à Atlantico : « être célibataire dans les pays développés est une forme de liberté face aux émotions partagées et aux pouvoirs d'action en couple : qui fait les tâches ménagères ? Qui s'occupe des enfants ? » Et de continuer : « les bénéfices tirés par les individus célibataires sont justement de n'avoir à négocier qu'avec soi-même sans avoir à gérer une autre personne avec laquelle on s'est engagé émotionnellement. » Évidemment, négocier avec soi-même est forcément plus facile que de devoir trouver un compromis avec l'autre…
Pour ce faire, plus de 4 000 Néo-Zélandais âgés de 18 à 94 ans ont été interrogés. Deux listes distinctes ont été dressées : les personnes qui par nature, cherchent à éviter les situations de conflit dans une relation. De l’autre côté, ont été rangés les individus qui ne craignent ni les désaccords ni les points de discorde. Une constante se dégage : les personnes qui redoutent les conflits sont aussi heureuses seules qu’en vivant à deux, voire plus ! Être célibataire serait un moyen d’éviter l’angoisse de disputes potentielles. Les autres, ceux qui n'ont pas peur des hauts et des bas, ni des désaccords, se révèlent plus heureux en couple. Finalement, c’est assez simple !
En France, selon l’INSEE, l’Institut national de la statistique et des études économiques, plus de 50% des Parisiens vivaient en solo en 2014 contre 45% de couples mariés. Aujourd’hui, on est loin de passer pour inadapté en vivant seul. Surtout, cette situation peut présenter des avantages pratiques, une certaine liberté, et de fait, un certain confort de vie. Ainsi, la psychologue Dominique Lefèvre, a répondu à Atlantico : « être célibataire dans les pays développés est une forme de liberté face aux émotions partagées et aux pouvoirs d'action en couple : qui fait les tâches ménagères ? Qui s'occupe des enfants ? » Et de continuer : « les bénéfices tirés par les individus célibataires sont justement de n'avoir à négocier qu'avec soi-même sans avoir à gérer une autre personne avec laquelle on s'est engagé émotionnellement. » Évidemment, négocier avec soi-même est forcément plus facile que de devoir trouver un compromis avec l'autre…