On est snob ou on ne l’est pas. Surtout, on peut être snob, fauché, et anti-gaspi alimentaire. Du coup, une nouvelle tendance se dégage, le freeganisme. Et comme son nom l’indique, elle s’adresse aux freegans. De quoi s’agit-il ? De manger pour presque rien, un menu de chef. Si dans les faits, cela paraît compliqué, dans la pratique, rien de plus simple. Tout d’abord, on s’embarque du côté de New York, épicentre de la plupart des tendances émergentes.
Logiquement, c’est là que le freeganisme est né il y a une vingtaine d'années. Contraction de free, gratuit, et de vegan, végétarien, ou végétalien, ce courant a pour objectif de lutter contre le fléau du gaspi alimentaire. La tendance a essaimé. En France, elle a été reprise par bobos et hipsters toujours prêts à tenter de nouvelles expériences. Elle est surtout menée par de véritables activistes tendance alter. Ainsi, à Paris, le restaurant alternatif Freegan Pony a vu le jour. Il s’appuie sur le concept zéro gâchis. Ou aller s’approvisionner à Rungis afin de récupérer invendus et autres produits cabossés. Quatre fois dans la semaine, des chefs viennent cuisiner sur place et proposent des menus zéro gâchis, à prix modique.
Dans le freeganisme, la tendance anti-gaspi se mêle à l’envie ou à la nécessité de dépenser moins, voire de ne rien dépenser du tout : « Les freegans », peut-on lire sur le site madame.lefigaro.fr, « récupèrent les aliments voués à la destruction et s’en font de bons petits plats. » Ainsi, la note n’est pas salée. Aladdin, le fondateur du Freegan Pony explique : « si tu invites le public à vivre une expérience culinaire avec une entrée, un plat et un dessert, le tout pour 6 euros, qu’en plus tu leur dis que tout ça allait partir à la poubelle, là ils vont s’en souvenir. » Pour Aladdin, 32 ans, « la gratuité (est) son crédo. »
L’idée ? Faire prendre conscience à ses concitoyens du gaspillage alimentaire, s’appuyer sur des équipes de bénévoles. C’est ainsi que le « temple » du freeganisme parisien, le Freegan Pony, a ouvert le mois dernier dans le 19ème arrondissement, sous le périphérique Nord, ce qui est déjà un concept en soi. Dans ce « squat de près de 500 mètres carrés » peut-on lire dans Le Figaro, le plat est à 2 euros et le menu à 6 euros. « Chaque soir, un chef mitonne un menu composé selon l’arrivage », reprend Le Figaro. Et vous savez quoi ? Les tendances sont parfois improbables et imprévisibles : tous les soirs, le « resto-squat » Freegan Pony, fait salle comble.
Logiquement, c’est là que le freeganisme est né il y a une vingtaine d'années. Contraction de free, gratuit, et de vegan, végétarien, ou végétalien, ce courant a pour objectif de lutter contre le fléau du gaspi alimentaire. La tendance a essaimé. En France, elle a été reprise par bobos et hipsters toujours prêts à tenter de nouvelles expériences. Elle est surtout menée par de véritables activistes tendance alter. Ainsi, à Paris, le restaurant alternatif Freegan Pony a vu le jour. Il s’appuie sur le concept zéro gâchis. Ou aller s’approvisionner à Rungis afin de récupérer invendus et autres produits cabossés. Quatre fois dans la semaine, des chefs viennent cuisiner sur place et proposent des menus zéro gâchis, à prix modique.
Dans le freeganisme, la tendance anti-gaspi se mêle à l’envie ou à la nécessité de dépenser moins, voire de ne rien dépenser du tout : « Les freegans », peut-on lire sur le site madame.lefigaro.fr, « récupèrent les aliments voués à la destruction et s’en font de bons petits plats. » Ainsi, la note n’est pas salée. Aladdin, le fondateur du Freegan Pony explique : « si tu invites le public à vivre une expérience culinaire avec une entrée, un plat et un dessert, le tout pour 6 euros, qu’en plus tu leur dis que tout ça allait partir à la poubelle, là ils vont s’en souvenir. » Pour Aladdin, 32 ans, « la gratuité (est) son crédo. »
L’idée ? Faire prendre conscience à ses concitoyens du gaspillage alimentaire, s’appuyer sur des équipes de bénévoles. C’est ainsi que le « temple » du freeganisme parisien, le Freegan Pony, a ouvert le mois dernier dans le 19ème arrondissement, sous le périphérique Nord, ce qui est déjà un concept en soi. Dans ce « squat de près de 500 mètres carrés » peut-on lire dans Le Figaro, le plat est à 2 euros et le menu à 6 euros. « Chaque soir, un chef mitonne un menu composé selon l’arrivage », reprend Le Figaro. Et vous savez quoi ? Les tendances sont parfois improbables et imprévisibles : tous les soirs, le « resto-squat » Freegan Pony, fait salle comble.