La curiosité est un vilain défaut. Et pourtant… Aujourd’hui, des millions de Français espionnent le mobile de leur conjoint, surveillant SMS, photos, mails et vidéos. C’est ce que démontre une étude Harris Interactive, pour le compte de La Parisienne, pendant féminin du Parisien. Bizarrement, car ça semble être du pur masochisme, ils sont motivés par le fait d’y trouver des éléments à charges, des messages compromettants. Pourtant, 85 % des personnes interrogées, « n’invoquent aucun motif particulier pour justifier cette indiscrétion ».
En premier lieu, cette mauvaise habitude est davantage l’apanage des femmes, mais aussi des jeunes âgés de moins de 35 ans, et « les personnes appartenant aux catégories populaires », selon le site madame.lefigaro.fr. D’après Harris Interactive, 25 % des Français interrogés pour l’enquête, reconnaissent le faire « rarement ». En revanche, 3% avouent consulter le mobile de leur conjoint « régulièrement ».
Parmi les personnes qui disent ne jamais espionner le smartphone de la personne avec qui elles vivent, on trouve 75% d’hommes, les femmes les plus âgées du panel, et les CSP +. Les autres, plus curieux, passent au crible les textos, (69%), les appels (28%), les photos et vidéos (13%), les profils sur les réseaux sociaux (12%), les emails (12%), les carnets d’adresse (11%), la messagerie vocale (8%), l’historique Internet (7%) et les échanges sur les systèmes de messagerie instantanée (4%). S’ils recherchent des éléments compromettants, 87% reconnaissent n’en avoir jamais trouvé. Tout ça pour ça donc.
En premier lieu, cette mauvaise habitude est davantage l’apanage des femmes, mais aussi des jeunes âgés de moins de 35 ans, et « les personnes appartenant aux catégories populaires », selon le site madame.lefigaro.fr. D’après Harris Interactive, 25 % des Français interrogés pour l’enquête, reconnaissent le faire « rarement ». En revanche, 3% avouent consulter le mobile de leur conjoint « régulièrement ».
Parmi les personnes qui disent ne jamais espionner le smartphone de la personne avec qui elles vivent, on trouve 75% d’hommes, les femmes les plus âgées du panel, et les CSP +. Les autres, plus curieux, passent au crible les textos, (69%), les appels (28%), les photos et vidéos (13%), les profils sur les réseaux sociaux (12%), les emails (12%), les carnets d’adresse (11%), la messagerie vocale (8%), l’historique Internet (7%) et les échanges sur les systèmes de messagerie instantanée (4%). S’ils recherchent des éléments compromettants, 87% reconnaissent n’en avoir jamais trouvé. Tout ça pour ça donc.