Immeubles-ponts qui enjambent le périphérique, piscine sur le toit, espaces mutualisés... Réenchanter Paris. Mieux, « Réinventer Paris ». C’est le nom de l’opération de rénovation urbaine lancée par la Mairie de Paris. Cette dernière, qui a débuté au mois de novembre dernier, s’avère un véritable succès. L’appel à projets « urbains innovants » lancé par Jean-Louis Missika, l'adjoint d'Anne Hidalgo chargé de l'urbanisme et de l'architecture, a pris au-delà de toute espérance.
Le défi à relever ? Réhabiliter 23 sites appartenant à la Mairie de Paris. Pêle-mêle : des terrains à bâtir, des structures datant des années 70, des hôtels particuliers, des friches industrielles, une ancienne station électrique, et même des incursions au-delà du périphérique, rapporte Le JDD. Pour ce faire, urbanistes, promoteurs, architectes, investisseurs, start-up, associations, chercheurs, étudiants, tout le monde a planché sur des projets urbains et novateurs. Résultat des courses à la fin de l’année avec la décision des 23 jurys composés pour l'occasion.
Déjà, la tendance qui se dégage va à la végétalisation de l’espace urbain. Autre parti-pris, les économies d’énergie. Les énergies devront être durables, innovantes voire renouvelables. Dans tous les cas, les projets incluent l’énergie, l’économie et l’écologie, mais aussi le partage, valeur phare, le tout à plusieurs niveaux : « la performance énergétique des bâtiments, comme les immeubles à énergie positive, les matériaux, la mixité d'usage, l'économie du partage, la concertation, la gestion des déchets ou encore du chantier », explique Jean-Louis Missika au JDD.
Communauté solidaire, mixité sociale sont des notions qui reviennent souvent. La tendance est donc largement à l’échange, au collaboratif, avec des espaces hybrides, mutualisés ou des espaces de coworking. Certains projets mettent également en avant des financements participatifs ou du crowdfunding. Dans tous les cas, « réinventer Paris » se décline aujourd’hui en grande partie de façon alternative. De nouvelles façons d'habiter qui prennent en compte des démarches citoyennes, sociales et solidaires.
Le défi à relever ? Réhabiliter 23 sites appartenant à la Mairie de Paris. Pêle-mêle : des terrains à bâtir, des structures datant des années 70, des hôtels particuliers, des friches industrielles, une ancienne station électrique, et même des incursions au-delà du périphérique, rapporte Le JDD. Pour ce faire, urbanistes, promoteurs, architectes, investisseurs, start-up, associations, chercheurs, étudiants, tout le monde a planché sur des projets urbains et novateurs. Résultat des courses à la fin de l’année avec la décision des 23 jurys composés pour l'occasion.
Déjà, la tendance qui se dégage va à la végétalisation de l’espace urbain. Autre parti-pris, les économies d’énergie. Les énergies devront être durables, innovantes voire renouvelables. Dans tous les cas, les projets incluent l’énergie, l’économie et l’écologie, mais aussi le partage, valeur phare, le tout à plusieurs niveaux : « la performance énergétique des bâtiments, comme les immeubles à énergie positive, les matériaux, la mixité d'usage, l'économie du partage, la concertation, la gestion des déchets ou encore du chantier », explique Jean-Louis Missika au JDD.
Communauté solidaire, mixité sociale sont des notions qui reviennent souvent. La tendance est donc largement à l’échange, au collaboratif, avec des espaces hybrides, mutualisés ou des espaces de coworking. Certains projets mettent également en avant des financements participatifs ou du crowdfunding. Dans tous les cas, « réinventer Paris » se décline aujourd’hui en grande partie de façon alternative. De nouvelles façons d'habiter qui prennent en compte des démarches citoyennes, sociales et solidaires.