Alexa Chung pour AG Jeans
Il y a des interdictions formelles posées par la Brigade du Style. Et puis, il y a des ouvertures. Des pièces a priori difficiles à porter mais que l’on ose. Mieux, que l’on autorise. La salopette en fait partie. Sinon, dans ce registre casse-gueule, on peut aussi citer la combinaison-pantalon, sorte de bleu de travail chic et urbain. Bien portée, elle fait son petit effet. Je sais de quoi je parle, j'en ai une.
Il y a aussi et surtout la salopette. Sorte de marronnier improbable dont on reparle à chaque printemps. Dans la pratique, même si on l'aime, elle n’est pas adoptée à large échelle. Peut-être les choses vont-elles changer cette année ? Parce que la salopette, on valide. Pour le moment, elle n’est portée que par quelques valeureuses intrépides. Et on les salue.
Elles ont raison. Car la pièce casual, bien mise, casse direct le look de pompiste ou de garagiste. On opte pour une version simple, en jeans ou en toile blanche. Voire bleu marine, comme celle imaginée par la stupéfiante Alexa Chung pour la marque américaine AG Jeans. Une chemise d’homme dessous. Tant qu’il y a du bleu, on se fiche de savoir si elle est rayée ou unie (la chemise).
En parlant de rayures, on évite la salopette modèle Oshkosh, trop Coluche. Mais entre ça et ça, il y a un monde. On oublie qu’elle tire son nom de l’adjectif « sale » et on la porte retroussée en bas avec des sandales compensées APC. Ou avec des Converses comme Alexa Chung. Oui, je fais une fixation sur elle. Mais c’est un ovni. Elle est tellement dingue qu’elle peut tout se permettre. Première chose, se rappeler qu’on n’est pas Alexa Chung.
On oublie aussi que si les femmes aiment la salopette, pour leurs comparses masculins, elle représente typiquement le vêtement man repeller. Traduction : « repousseur d’homme » ou repoussoir. Mais ils vont finir par s’y faire. À l’origine, vêtement de travail, on la sophistique pour sortir dans la rue sans en faire des tonnes. L’important est d’y croire. L'auto-persuasion ça a du bon.
Il y a aussi et surtout la salopette. Sorte de marronnier improbable dont on reparle à chaque printemps. Dans la pratique, même si on l'aime, elle n’est pas adoptée à large échelle. Peut-être les choses vont-elles changer cette année ? Parce que la salopette, on valide. Pour le moment, elle n’est portée que par quelques valeureuses intrépides. Et on les salue.
Elles ont raison. Car la pièce casual, bien mise, casse direct le look de pompiste ou de garagiste. On opte pour une version simple, en jeans ou en toile blanche. Voire bleu marine, comme celle imaginée par la stupéfiante Alexa Chung pour la marque américaine AG Jeans. Une chemise d’homme dessous. Tant qu’il y a du bleu, on se fiche de savoir si elle est rayée ou unie (la chemise).
En parlant de rayures, on évite la salopette modèle Oshkosh, trop Coluche. Mais entre ça et ça, il y a un monde. On oublie qu’elle tire son nom de l’adjectif « sale » et on la porte retroussée en bas avec des sandales compensées APC. Ou avec des Converses comme Alexa Chung. Oui, je fais une fixation sur elle. Mais c’est un ovni. Elle est tellement dingue qu’elle peut tout se permettre. Première chose, se rappeler qu’on n’est pas Alexa Chung.
On oublie aussi que si les femmes aiment la salopette, pour leurs comparses masculins, elle représente typiquement le vêtement man repeller. Traduction : « repousseur d’homme » ou repoussoir. Mais ils vont finir par s’y faire. À l’origine, vêtement de travail, on la sophistique pour sortir dans la rue sans en faire des tonnes. L’important est d’y croire. L'auto-persuasion ça a du bon.