Les prix ont augmenté, comme tant d’autres, mais on peine surtout à anticiper l’avenir du secteur du café. « Ainsi, en novembre, dans un chariot de courses type, élaboré par le cabinet d’études IRI pour Le Monde, le prix du paquet de 250 g d’arabica moulu à marque nationale atteignait 3,38 euros, ce qui représente une progression de 19 % sur un an », explique le quotidien français.
Si la tendance est simplement à la hausse, il ne serait pas difficile d’analyser la situation. Mais après la période Covid, la guerre en Ukraine annonçait une hausse record. « Déjà secouée par la crise due au Covid-19, la filière caféière a subi le coup de semonce de la météo brésilienne en 2021. Touchant le premier producteur et exportateur mondial, une gelée noire printanière a fait s’enflammer le cours de l’arabica. La récolte, amputée de près d’un quart par rapport au record de 2020, a donné du grain à moudre aux spéculateurs. En 2021, la livre d’arabica, la variété la plus prisée, tutoyait la barre des 2,50 dollars (2,40 euros) à la Bourse de New York, son niveau le plus haut depuis dix ans. Elle terminait l’année sur un envol de près de 75 % de sa valeur » raconte le même article du « Monde ».
Mais le mois dernier, la tendance s’est inversée très vivement avec une augmentation des volumes et des investisseurs moins enthousiastes. « Depuis, le café prend l’eau. L’arabica se négocie actuellement à près de 1,63 dollar la livre, en recul de 28 % depuis janvier. Le robusta suit une trajectoire très similaire » analyse le quotidien. Tandis que les soubresauts des prix oublient un élément central : le consommateur. Avec des prix qui font le yoyo, et un pouvoir d’achat mis à mal, le café pourrait bien faire partie des variables d’ajustement de nombreuses personnes.
Si la tendance est simplement à la hausse, il ne serait pas difficile d’analyser la situation. Mais après la période Covid, la guerre en Ukraine annonçait une hausse record. « Déjà secouée par la crise due au Covid-19, la filière caféière a subi le coup de semonce de la météo brésilienne en 2021. Touchant le premier producteur et exportateur mondial, une gelée noire printanière a fait s’enflammer le cours de l’arabica. La récolte, amputée de près d’un quart par rapport au record de 2020, a donné du grain à moudre aux spéculateurs. En 2021, la livre d’arabica, la variété la plus prisée, tutoyait la barre des 2,50 dollars (2,40 euros) à la Bourse de New York, son niveau le plus haut depuis dix ans. Elle terminait l’année sur un envol de près de 75 % de sa valeur » raconte le même article du « Monde ».
Mais le mois dernier, la tendance s’est inversée très vivement avec une augmentation des volumes et des investisseurs moins enthousiastes. « Depuis, le café prend l’eau. L’arabica se négocie actuellement à près de 1,63 dollar la livre, en recul de 28 % depuis janvier. Le robusta suit une trajectoire très similaire » analyse le quotidien. Tandis que les soubresauts des prix oublient un élément central : le consommateur. Avec des prix qui font le yoyo, et un pouvoir d’achat mis à mal, le café pourrait bien faire partie des variables d’ajustement de nombreuses personnes.