L’aspect soudain et les chiffres qui augmentent de jour en jour sont largement responsables de l’inquiétude qui monte. Mais aussi les difficultés pour les spécialistes des pandémies de prendre du recul. Un peu comme aux débuts de Ebola, la peur irrationnelle et la prudence sanitaire prouvent qu’elles ne font pas bon ménage.
Ce qui est certain à l’heure actuelle, c’est que le Coronavirus n’est pas prêt de disparaitre. « Il va falloir s'habituer au nouveau coronavirus apparu en Chine. Et pour cause, l'épidémie va faire au bas mot des dizaines de milliers de malades et durer plusieurs mois dans le meilleur des cas, estiment des experts en épidémiologie sur la base des premières données disponibles. « Le meilleur des scénarios serait que cela continue au printemps, à l'été, et puis qu'ensuite ça retombe », explique à l'AFP David Fisman, professeur à l'université de Toronto, et auteur d'un bulletin pour la Société internationale des maladies infectieuses. 106 personnes sont déjà décédées et près de 1 300 nouveaux cas ont été détectés, ont annoncé mardi les autorités chinoises » lit-on dans les colonnes du Point .
S’appuyant sur le travail de l’AFP, le magazine explique que cette installation de la maladie ne doit pas pour autant être comprise comme un fléau apocalyptique. La réalité étant que les chercheurs lancent des hypothèses qu’ils vérifient ensuite ou infirment. « Jusqu'à ce week-end, on pensait que les personnes infectées n'étaient pas contagieuses avant l'apparition des symptômes (fièvre et difficultés respiratoires, pneumonie), mais les autorités chinoises ont dit dimanche l'avoir établi, ce que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'a toutefois pas encore confirmé. Les Américains, eux, disaient d'ailleurs lundi n'avoir pas vu de preuves. Si des gens sans fièvre peuvent contaminer d'autres, cela change forcément la dynamique de l'épidémie. La période d'incubation commence seulement à être estimée : environ deux semaines, voire plus courte selon l'OMS : entre deux et dix jours » lit-on plus loin. Quant aux cas recensés en Europe, nous n’avons encore que très peu de recul sur les effets des traitements administrés.
Ce qui est certain à l’heure actuelle, c’est que le Coronavirus n’est pas prêt de disparaitre. « Il va falloir s'habituer au nouveau coronavirus apparu en Chine. Et pour cause, l'épidémie va faire au bas mot des dizaines de milliers de malades et durer plusieurs mois dans le meilleur des cas, estiment des experts en épidémiologie sur la base des premières données disponibles. « Le meilleur des scénarios serait que cela continue au printemps, à l'été, et puis qu'ensuite ça retombe », explique à l'AFP David Fisman, professeur à l'université de Toronto, et auteur d'un bulletin pour la Société internationale des maladies infectieuses. 106 personnes sont déjà décédées et près de 1 300 nouveaux cas ont été détectés, ont annoncé mardi les autorités chinoises » lit-on dans les colonnes du Point .
S’appuyant sur le travail de l’AFP, le magazine explique que cette installation de la maladie ne doit pas pour autant être comprise comme un fléau apocalyptique. La réalité étant que les chercheurs lancent des hypothèses qu’ils vérifient ensuite ou infirment. « Jusqu'à ce week-end, on pensait que les personnes infectées n'étaient pas contagieuses avant l'apparition des symptômes (fièvre et difficultés respiratoires, pneumonie), mais les autorités chinoises ont dit dimanche l'avoir établi, ce que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'a toutefois pas encore confirmé. Les Américains, eux, disaient d'ailleurs lundi n'avoir pas vu de preuves. Si des gens sans fièvre peuvent contaminer d'autres, cela change forcément la dynamique de l'épidémie. La période d'incubation commence seulement à être estimée : environ deux semaines, voire plus courte selon l'OMS : entre deux et dix jours » lit-on plus loin. Quant aux cas recensés en Europe, nous n’avons encore que très peu de recul sur les effets des traitements administrés.