C’est quand on ne travaille plus qu’on réalise que ce n’est pas toute notre vie. Et pendant cette période de vacances, pour celles qui arrivent à se déconnecter, c’est peut-être l’occasion d’envisager une coupure plus longue. De quelques mois voire d’une année ou deux, les congés sabbatiques méritent d’être considérés comme des jalons dans une vie. Cette réflexion découle de la lecture d’un long article du Figaro Magazine . Le journal s’est penché sur le sujet fin juillet en mettant notamment en contradiction deux expertes. « Beaucoup rêvent de s'offrir cette parenthèse, enchantée ou non, pourvu qu'elle soit différente. Après plus d'un an de pandémie et restrictions, nombreux sont ceux qui se posent des questions et souhaitent faire une pause pour y voir plus clair. Qu'elle permette de vivre autre chose, d'explorer de nouveaux terrains et de se découvrir des facultés ou des passions ignorées. Demander un congé sabbatique ou sans solde, une rupture conventionnelle ou un congé de transition professionnelle, c'est s'accorder le temps et l'espace nécessaires pour faire le point, se ressourcer et prendre de la hauteur » avance l’article.
Si la question des moyens est clé, elle n’est pas le seule chose à avoir en tête : « Mais, même si l'on trouve une façon de la financer, peut-on s'offrir le luxe d'une respiration sans en payer le prix fort ? Comment s'éloigner - de son travail, de son réseau, de ses compétences - sans se mettre hors circuit ? C'est tout bonnement impossible, répond le coach Patrick Chassagne, spécialisé dans l'accompagnement des femmes dirigeantes et fondateur de The Kii. Pas du tout, à condition de s'organiser, réplique sa consœur Chine Lanzmann, créatrice des programmes Woman Impact et auteure du Guide de l'auto-coaching pour les femmes » (Pearson).
Lire en intégralité l’article sur le site du Figaro Madame
Si la question des moyens est clé, elle n’est pas le seule chose à avoir en tête : « Mais, même si l'on trouve une façon de la financer, peut-on s'offrir le luxe d'une respiration sans en payer le prix fort ? Comment s'éloigner - de son travail, de son réseau, de ses compétences - sans se mettre hors circuit ? C'est tout bonnement impossible, répond le coach Patrick Chassagne, spécialisé dans l'accompagnement des femmes dirigeantes et fondateur de The Kii. Pas du tout, à condition de s'organiser, réplique sa consœur Chine Lanzmann, créatrice des programmes Woman Impact et auteure du Guide de l'auto-coaching pour les femmes » (Pearson).
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