Par définition, le métier de coach accompagne un salarié ou un actif dans la quête de ses objectifs. Le coach identifie un cap à un individu qu’il accompagne et ensuite lui fait prendre du recul afin de mieux anticiper les difficultés et mieux vivre des situations déstabilisantes.
Autrefois le coach était un privilège accordé à des cadres de très haut niveau soumis à de grandes pressions et à des situations pénibles qui interagissent tant dans la qualité de vie professionnelle que sur l’équilibre de vie privée. Aujourd’hui les coachs interviennent pour tous.
Contrairement à de fausses interprétations, la profession ne s’est pas démocratisée, ni galvaudée. La demande a tout simplement évolué, la crise et la société malade aidants. Même pour des emplois peu qualifiés, les coachs peuvent s’avérer d’une très grande utilité, non seulement pour valoriser un emploi soit disant peu valorisant ou encore pour accompagner le personnel à la base. Ces salariés sont en effet souvent en contact avec le client, qu’il soit direct ou indirect, tel un employé de ménage ou encore un monteur d’équipement industriel. Ce dernier pour effectuer correctement son travail doit quasiment en permanence penser à l’usage du client final pour lequel il est en train de réaliser une valeur ajoutée qui a toute son importance.
La profession de coach doit tout de même être bien différenciée de celle d’un psychologue ou d’un psychiatre. Dans ce dernier cas, il y a souvent une pathologie, alors que le coach ne soigne pas une maladie, tout simplement parce que l’accompagné n’est pas un malade.
Le psychanalyste peut aussi être coach et vice versa. Le psychanalyste va aider son patient à sortir d’un problème dont il ne peut se sortir seul. Le coach, lui va analyser une situation pour épanouir l’accompagné (et non le patient) dans son comportement et dans ses actions à l’intérieur d’une situation professionnelle. Les points communs du psychiatre, du psychanalyste et du coach restent la discrétion, la notion de secret et un détachement total des actions réelles des intéressés. C’est-à-dire qu’ils ne se substituent pas à un individu et ne reportent les échanges à personne.
Ce qui indique bien tout le bénéfice bienveillant du coach : être plus performant, dans un contexte professionnel pas forcément facile, en privilégiant le savoir-être de l’accompagné. La notion de bien être est au cœur de l’action du coach pour son accompagné. Aujourd’hui, les formations de coach qui sont bien souvent certifiantes se multiplient et garantissent une approche très technique, rigoureuse et constructive. En cas de conduite du changement, ces interlocuteurs extérieurs sont les bienvenus, pour aider chaque accompagné à mieux vivre une rupture professionnelle ou un changement d’environnement, qu’il soit managérial, structurel, technique ou géographique.
Autrefois le coach était un privilège accordé à des cadres de très haut niveau soumis à de grandes pressions et à des situations pénibles qui interagissent tant dans la qualité de vie professionnelle que sur l’équilibre de vie privée. Aujourd’hui les coachs interviennent pour tous.
Contrairement à de fausses interprétations, la profession ne s’est pas démocratisée, ni galvaudée. La demande a tout simplement évolué, la crise et la société malade aidants. Même pour des emplois peu qualifiés, les coachs peuvent s’avérer d’une très grande utilité, non seulement pour valoriser un emploi soit disant peu valorisant ou encore pour accompagner le personnel à la base. Ces salariés sont en effet souvent en contact avec le client, qu’il soit direct ou indirect, tel un employé de ménage ou encore un monteur d’équipement industriel. Ce dernier pour effectuer correctement son travail doit quasiment en permanence penser à l’usage du client final pour lequel il est en train de réaliser une valeur ajoutée qui a toute son importance.
La profession de coach doit tout de même être bien différenciée de celle d’un psychologue ou d’un psychiatre. Dans ce dernier cas, il y a souvent une pathologie, alors que le coach ne soigne pas une maladie, tout simplement parce que l’accompagné n’est pas un malade.
Le psychanalyste peut aussi être coach et vice versa. Le psychanalyste va aider son patient à sortir d’un problème dont il ne peut se sortir seul. Le coach, lui va analyser une situation pour épanouir l’accompagné (et non le patient) dans son comportement et dans ses actions à l’intérieur d’une situation professionnelle. Les points communs du psychiatre, du psychanalyste et du coach restent la discrétion, la notion de secret et un détachement total des actions réelles des intéressés. C’est-à-dire qu’ils ne se substituent pas à un individu et ne reportent les échanges à personne.
Ce qui indique bien tout le bénéfice bienveillant du coach : être plus performant, dans un contexte professionnel pas forcément facile, en privilégiant le savoir-être de l’accompagné. La notion de bien être est au cœur de l’action du coach pour son accompagné. Aujourd’hui, les formations de coach qui sont bien souvent certifiantes se multiplient et garantissent une approche très technique, rigoureuse et constructive. En cas de conduite du changement, ces interlocuteurs extérieurs sont les bienvenus, pour aider chaque accompagné à mieux vivre une rupture professionnelle ou un changement d’environnement, qu’il soit managérial, structurel, technique ou géographique.