Qui sera le premier cultivateur martien ? La question est idiote mais pas totalement inconcevable. Dans les laboratoires de la NASA, des chercheurs s’attèlent à rendre possible cette prouesse en étudiant les prémices de la culture sur Mars. « Si l’on met de côté tous les défis techniques encore non résolus inhérents à un établissement humain sur la Lune ou sur Mars, la question de la nourriture se pose. Pour la Lune, nous pourrions faire des navettes, au début, pour amener des aliments depuis la Terre. Mais à terme, il va falloir être autonome. Concernant la planète Mars – beaucoup plus loin – nous allons devoir nous débrouiller “seuls” dès le départ. Il est donc important de pouvoir anticiper ces futures cultures » résume Science Post .
Les recherches sont donc à prendre avec des pincettes puisqu’elles sont basées sur des découvertes en laboratoire. Pour autant, certaines pistes semblent déjà prometteuses. « Pour ce faire, les chercheurs de la NASA reproduisent en laboratoire des échantillons de sols martiens et lunaires. Ils intègrent ensuite de la matière organique, et analysent la réponse de plusieurs cultures. De récentes expériences ont alors montré que le cresson, la roquette, la tomate, le radis, le seigle, le quinoa, la ciboulette, les pois et les poireaux pouvaient effectivement pousser dans ces “terres” simulées. En revanche, les épinards ne semblent pas apprécier » lit-on plus loin.
De plus amples expériences vont être menées dans la Station spatiale internationale (ISS) où des salades sont déjà cultivées.
« Rappelons également que les différentes expériences de culture hydroponique ont également présenté des résultats positifs. L’année dernière en Antarctique, des chercheurs allemands ont par exemple réussi à récolter plus de 250 kilos de légumes sur seulement 12,5 mètres carrés en un peu plus de 9 mois grâce à cette méthode. Une expérience à bord de l’ISS (Veggie Plant Growth System) permet également aux astronautes de récolter régulièrement de la laitue depuis trois ans » nous apprend Science Post. Sans nous en dire plus sur le goût de ses légumes de l’espace.
Les recherches sont donc à prendre avec des pincettes puisqu’elles sont basées sur des découvertes en laboratoire. Pour autant, certaines pistes semblent déjà prometteuses. « Pour ce faire, les chercheurs de la NASA reproduisent en laboratoire des échantillons de sols martiens et lunaires. Ils intègrent ensuite de la matière organique, et analysent la réponse de plusieurs cultures. De récentes expériences ont alors montré que le cresson, la roquette, la tomate, le radis, le seigle, le quinoa, la ciboulette, les pois et les poireaux pouvaient effectivement pousser dans ces “terres” simulées. En revanche, les épinards ne semblent pas apprécier » lit-on plus loin.
De plus amples expériences vont être menées dans la Station spatiale internationale (ISS) où des salades sont déjà cultivées.
« Rappelons également que les différentes expériences de culture hydroponique ont également présenté des résultats positifs. L’année dernière en Antarctique, des chercheurs allemands ont par exemple réussi à récolter plus de 250 kilos de légumes sur seulement 12,5 mètres carrés en un peu plus de 9 mois grâce à cette méthode. Une expérience à bord de l’ISS (Veggie Plant Growth System) permet également aux astronautes de récolter régulièrement de la laitue depuis trois ans » nous apprend Science Post. Sans nous en dire plus sur le goût de ses légumes de l’espace.