Marie Kondo dans le placard d'un client
Enfant, déjà, la japonaise Marie Kondo s’illustrait d’une drôle de façon. Elle mettait sur pied des techniques de rangement. Une fois échafaudées, elle les mettait en pratique, à l’école ou chez elle, transformant de pied en cap la chambre de son frère… Aujourd’hui, à trente ans, elle est devenue consultante en rangement. Elle est l’auteur d’un best seller, The Life-Changing Magic of Tidying Up: The Japanese Art of Decluttering and Organizing qui sort ce mois-ci aux États-Unis. En France, il faudra attendre le mois de février prochain, pour se procurer Magie du rangement.
En attendant, Marie Kondo est une véritable star dans son pays. Si on veut faire appel à elle, la liste d’attente est longue. Environ trois mois pour bénéficier de ses services. Mais cela vaut la peine… Comme on parlerait d'une guerre lancée contre le désordre, on peut parler de ses tactiques de rangement, de sa stratégie, de ses théories. Son organisation est paraît-il extraordinaire. Enfin... les résultats de sa guerre, pas du tout éclaire, menée dans la penderie de ses clients.
Pour résumer, rapporte une journaliste du New York Times, qui a testé ses techniques, on peut les réduire à deux grandes lignes : se débarrasser de tout ce qui est encombrant, et ne procure aucune joie. Ne pas acheter de meubles de rangement. En général, on a tout sous la main. C'est juste une question de méthode... et de joie !
Pour faire le métier de Marie Kondo, il faut être un rien obsessionnel, et elle l’est. Son manifeste ressemble à un traité zen. Mais teinté d’animisme. Elle livre des techniques de rangements et de pliages à rendre fou, mais aléatoires. Pour ne pas dire bizarres... Convaincue que les vêtements sont chargés en énergie, elle les prend dans ses mains et se pose des questions. Même chose pour les objets, les papiers, tout ce qui se trouve au milieu du capharnaüm : joie ? Pas joie ?
La question donc, est la suivante : « ce T-shirt me procure t-il de la joie ? » Le concept de « donner de la joie » est fondamental. Comme Marie Kondo, il faudra donc se demander : « ce vieux col roulé mité me donne t-il de la joie ? » Tout cela est relatif bien sûr. Et qu’est-ce que la joie, après tout ? Même, cela pourrait faire l'objet d'un second traité... Pour la japonaise, « Ranger est un dialogue avec soi-même ». Se poser des questions est donc normal et nécessaire. À ce rythme là, on espère qu’elle ne facture pas son activité à l’heure ! Sinon, ce n'est pas la joie.
En attendant, Marie Kondo est une véritable star dans son pays. Si on veut faire appel à elle, la liste d’attente est longue. Environ trois mois pour bénéficier de ses services. Mais cela vaut la peine… Comme on parlerait d'une guerre lancée contre le désordre, on peut parler de ses tactiques de rangement, de sa stratégie, de ses théories. Son organisation est paraît-il extraordinaire. Enfin... les résultats de sa guerre, pas du tout éclaire, menée dans la penderie de ses clients.
Pour résumer, rapporte une journaliste du New York Times, qui a testé ses techniques, on peut les réduire à deux grandes lignes : se débarrasser de tout ce qui est encombrant, et ne procure aucune joie. Ne pas acheter de meubles de rangement. En général, on a tout sous la main. C'est juste une question de méthode... et de joie !
Pour faire le métier de Marie Kondo, il faut être un rien obsessionnel, et elle l’est. Son manifeste ressemble à un traité zen. Mais teinté d’animisme. Elle livre des techniques de rangements et de pliages à rendre fou, mais aléatoires. Pour ne pas dire bizarres... Convaincue que les vêtements sont chargés en énergie, elle les prend dans ses mains et se pose des questions. Même chose pour les objets, les papiers, tout ce qui se trouve au milieu du capharnaüm : joie ? Pas joie ?
La question donc, est la suivante : « ce T-shirt me procure t-il de la joie ? » Le concept de « donner de la joie » est fondamental. Comme Marie Kondo, il faudra donc se demander : « ce vieux col roulé mité me donne t-il de la joie ? » Tout cela est relatif bien sûr. Et qu’est-ce que la joie, après tout ? Même, cela pourrait faire l'objet d'un second traité... Pour la japonaise, « Ranger est un dialogue avec soi-même ». Se poser des questions est donc normal et nécessaire. À ce rythme là, on espère qu’elle ne facture pas son activité à l’heure ! Sinon, ce n'est pas la joie.