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« Je m’appelle Leslie, j’ai 40 ans, je suis maman d’un garçon de 13 ans que j’élève seule et je suis atteinte d’un cancer métastasique » commence l’appel aux dons publié sur le site La cagnotte des proches. Dans une situation particulièrement difficile depuis des années, cette maman a fait cette démarche en apprenant que le traitement qu’elle prenait depuis plus d’un an n’était plus remboursé. « En effet depuis janvier 2016, cette mère de 40 ans reçoit des injections d'Avastin, une molécule permettant de stopper la progression de la tumeur. Un traitement qui faisait "des miracles" sur elle, selon son médecin, et que la Caisse primaire d'Assurance Maladie refuse désormais de lui rembourser » précise Europe 1.
« Dans le message posté pour l'appel aux dons, Leslie Salut poursuit : "La semaine dernière, lors d’un renouvellement de protocole de chimiothérapie j’ai reçu une réponse négative de la part du Cabinet du Médecin Conseil National concernant le remboursement de l’Avastin 'en raison d’un service médical rendu jugé insuffisant'". En effet la Haute Autorité de santé a réévalué l'intérêt de ce médicament et jugé que, dans le cas des malades comme Leslie, il n'était pas assez efficace, ne nécessitant donc plus de remboursement » poursuit la radio.
A 1 635 euros l’unité, le traitement d’Avastin est très cher et la mère de famille est incapable de le payer de sa poche. Elle a donc lancé cette cagnotte le 4 avril. Le succès a été au rendez-vous puisqu’elle a obtenu près de 35 000 euros en moins d’une semaine. Une somme qui devrait lui permettre de recevoir dix-huit mois de traitement. « Grâce à eux, je peux déjà avancer un an de traitement. Le geste de ces inconnus me sauve » a-t-elle dit avec reconnaissance au journal Le Parisien.
« Dans le message posté pour l'appel aux dons, Leslie Salut poursuit : "La semaine dernière, lors d’un renouvellement de protocole de chimiothérapie j’ai reçu une réponse négative de la part du Cabinet du Médecin Conseil National concernant le remboursement de l’Avastin 'en raison d’un service médical rendu jugé insuffisant'". En effet la Haute Autorité de santé a réévalué l'intérêt de ce médicament et jugé que, dans le cas des malades comme Leslie, il n'était pas assez efficace, ne nécessitant donc plus de remboursement » poursuit la radio.
A 1 635 euros l’unité, le traitement d’Avastin est très cher et la mère de famille est incapable de le payer de sa poche. Elle a donc lancé cette cagnotte le 4 avril. Le succès a été au rendez-vous puisqu’elle a obtenu près de 35 000 euros en moins d’une semaine. Une somme qui devrait lui permettre de recevoir dix-huit mois de traitement. « Grâce à eux, je peux déjà avancer un an de traitement. Le geste de ces inconnus me sauve » a-t-elle dit avec reconnaissance au journal Le Parisien.