Grumpy Cat en tête, le Web s’est emparé de la folie des chats. Pour le meilleur et pour le pire. Nouvelle approche : regarder des photos de chats au bureau améliorerait la productivité des salariés. Dans ce cas précis, on regarde des photos de chatons, plutôt que de chats boudeurs, comme la star d’Internet citée plus haut. Ce n’est pas moi qui le dit, mais une étude très sérieuse publiée dans la revue Computers in Human Behavior. Le journaliste du Figaro, Quentin Périnel, s’en fait d’ailleurs l’écho dans sa chronique (sur)vie au bureau.
Ainsi, mater des photos ou des vidéos de matous au bureau, engendrerait des « pics de productivité chez les salariés. » Entendons nous, il s’agit surtout de vidéos de chatons que de vieux chats mal lunés. « Les petits chats mignons sont à la fois bon pour le moral ET pour la productivité », dixit Quentin Périnel. En plus, ils pullulent sur les réseaux sociaux. Avec un bémol toutefois. Si on conçoit que regarder des vidéos de chatons peut détendre, le faire en boucle peut contribuer à perdre son temps. Quid donc de la productivité ?
Pou y rémedier, Quentin Périnel propose donc des plans B : coller des photos de chats autour de son écran d’ordi, ou d’en mettre en fond d’écran. On pourrait aussi imaginer des open space où vivrait un vrai chat. C’est le cas chez un célèbre éditeur parisien. Le chat s’appelle Georges et est devenu la mascotte de la Maison. Il a même une chatière. Prochaine étape, savoir si la productivité a été boostée dans ces bureaux. Avec un Goncourt et un Nobel cette année, ça a l’air de bien se passer pour eux. Grâce à Georges ?
Ainsi, mater des photos ou des vidéos de matous au bureau, engendrerait des « pics de productivité chez les salariés. » Entendons nous, il s’agit surtout de vidéos de chatons que de vieux chats mal lunés. « Les petits chats mignons sont à la fois bon pour le moral ET pour la productivité », dixit Quentin Périnel. En plus, ils pullulent sur les réseaux sociaux. Avec un bémol toutefois. Si on conçoit que regarder des vidéos de chatons peut détendre, le faire en boucle peut contribuer à perdre son temps. Quid donc de la productivité ?
Pou y rémedier, Quentin Périnel propose donc des plans B : coller des photos de chats autour de son écran d’ordi, ou d’en mettre en fond d’écran. On pourrait aussi imaginer des open space où vivrait un vrai chat. C’est le cas chez un célèbre éditeur parisien. Le chat s’appelle Georges et est devenu la mascotte de la Maison. Il a même une chatière. Prochaine étape, savoir si la productivité a été boostée dans ces bureaux. Avec un Goncourt et un Nobel cette année, ça a l’air de bien se passer pour eux. Grâce à Georges ?
