Voilà encore une belle démonstration de l’obsolescence programmée des téléphones connectés. A en croire une enquête du magazine Which ? près de la moitié des utilisateurs de téléphones équipés d’Android ne sont pas à jour du point de vue de la sécurité. Pour avoir un système mis à jour, ils devraient jeter leur terminal…
« Sur base des chiffres officiels communiqués par Google, Wich? estime que plus d’un milliard de terminaux en circulation sont vulnérables aux pirates. Google ne déploie en effet plus de mises à jour de sécurité sur les smartphones et tablettes sous Android Nougat 7.0 (déployé en 2016) ou une version antérieure. Pourtant, 42,1 % des appareils actifs tournent encore sous Android 6.0 ou une itération plus ancienne » rapporte Phonandroid.
Et d’expliquer que « Tous les terminaux n’ayant pas pu installer Android Oreo, Android Pie ou Android 10 sont donc privés de correctifs de sécurité et de support logiciel. Les usagers se retrouvent ainsi à la merci des pirates et malwares, dont le dangereux virus Joker par exemple. Pour profiter des derniers correctifs, les usagers sont donc contraints d’investir dans un nouveau smartphone, regrette Wich?, qui n’hésite pas à parler d’obsolescence programmée. Interrogé par Wich?, Google rejette la responsabilité sur les constructeurs Android. Comme le souligne la firme de Mountain View, les mises à jour de sécurité débarquent en temps et en heure sur les appareils de son cru, les Pixel et les Nexus. Néanmoins, les smartphones Google plus anciens sont eux aussi obsolètes et privés de correctifs. Lancé en 2016, le Pixel de première génération n’aura d’ailleurs pas droit à Android 11, la prochaine version de l’OS. » Une situation assez similaire s’applique sur les terminaux Apple qui au bout d’une période ne peuvent plus se mettre à jour.
« Sur base des chiffres officiels communiqués par Google, Wich? estime que plus d’un milliard de terminaux en circulation sont vulnérables aux pirates. Google ne déploie en effet plus de mises à jour de sécurité sur les smartphones et tablettes sous Android Nougat 7.0 (déployé en 2016) ou une version antérieure. Pourtant, 42,1 % des appareils actifs tournent encore sous Android 6.0 ou une itération plus ancienne » rapporte Phonandroid.
Et d’expliquer que « Tous les terminaux n’ayant pas pu installer Android Oreo, Android Pie ou Android 10 sont donc privés de correctifs de sécurité et de support logiciel. Les usagers se retrouvent ainsi à la merci des pirates et malwares, dont le dangereux virus Joker par exemple. Pour profiter des derniers correctifs, les usagers sont donc contraints d’investir dans un nouveau smartphone, regrette Wich?, qui n’hésite pas à parler d’obsolescence programmée. Interrogé par Wich?, Google rejette la responsabilité sur les constructeurs Android. Comme le souligne la firme de Mountain View, les mises à jour de sécurité débarquent en temps et en heure sur les appareils de son cru, les Pixel et les Nexus. Néanmoins, les smartphones Google plus anciens sont eux aussi obsolètes et privés de correctifs. Lancé en 2016, le Pixel de première génération n’aura d’ailleurs pas droit à Android 11, la prochaine version de l’OS. » Une situation assez similaire s’applique sur les terminaux Apple qui au bout d’une période ne peuvent plus se mettre à jour.