L’alcool : un véritable problème de société
En Europe, la consommation d'alcool est particulièrement élevée. Les statistiques montrent que les Européens consomment en moyenne 9,2 litres d'alcool pur par an et par adulte, un chiffre qui dépasse largement celui des autres régions du monde puisque la moyenne mondiale est de 5,5 litres par an. Et, sans surprise, la France fait encore pire, avec 12 litres d’alcool pur par an.
Or, L'alcool a des effets particulièrement délétères sur la santé, exacerbés chez les femmes. Leurs organismes métabolisent l'alcool différemment de ceux des hommes, rendant les femmes plus susceptibles de subir des dommages même avec une consommation moindre. Ainsi, les femmes sont plus exposées aux risques de maladies liées à l'alcool, telles que les cancers du sein, du foie et de l'œsophage. Selon le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l'alcool est un cancérogène avéré, et même une consommation modérée augmente le risque de cancer.
Or, L'alcool a des effets particulièrement délétères sur la santé, exacerbés chez les femmes. Leurs organismes métabolisent l'alcool différemment de ceux des hommes, rendant les femmes plus susceptibles de subir des dommages même avec une consommation moindre. Ainsi, les femmes sont plus exposées aux risques de maladies liées à l'alcool, telles que les cancers du sein, du foie et de l'œsophage. Selon le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), l'alcool est un cancérogène avéré, et même une consommation modérée augmente le risque de cancer.
Dépendance et troubles liés à l’alcool restent élevés
Les troubles liés à l'alcool, y compris la dépendance, sont également préoccupants. En Europe, environ 6% des adultes souffrent de dépendance à l'alcool tandis que 1 Européen sur 10 souffrirait de troubles liés à sa consommation. La dépendance à l'alcool chez les femmes est souvent associée à des troubles mentaux tels que la dépression et l'anxiété, aggravant ainsi les défis de traitement et de récupération. « En 2019, 2,6 millions de décès ont été imputables à la consommation d’alcool, ce qui représente 4,7 % de l’ensemble des décès survenus cette année-là, tandis que 600 000 décès étaient dus à la consommation de drogues psychoactives », souligne par ailleurs l’OMS dans son rapport publié fin juin 2024.
Les femmes devraient limiter leur consommation d'alcool à un maximum de 7 unités par semaine, équivalant à environ un verre de vin ou une bière par jour. Une limite qui grimpe à 14 unités pour les hommes, montrant une nouvelle fois la différence de métabolisme entre les deux sexes. Toutefois, les experts rappellent qu’il ne faut pas boire tous les jours, un seul verre quotidien étant une preuve d’une dépendance à l’alcool.
Les femmes devraient limiter leur consommation d'alcool à un maximum de 7 unités par semaine, équivalant à environ un verre de vin ou une bière par jour. Une limite qui grimpe à 14 unités pour les hommes, montrant une nouvelle fois la différence de métabolisme entre les deux sexes. Toutefois, les experts rappellent qu’il ne faut pas boire tous les jours, un seul verre quotidien étant une preuve d’une dépendance à l’alcool.