Quel est le point commun entre des geeks surdoués, des membres de la génération Z, des startuppeurs, des autodidactes, des recalés aux examens, des inadaptés au système scolaire, des bidouilleurs informatiques ? Tous peuvent tenter l’examen d’entrée au « 42 ». Soit l’École 42 créée par Xavier Niel il y a deux ans, le fondateur de Free. La particularité de l’École ? Elle est gratuite. Ce qui la différencie de l’Epitech, l’autre école de code parisienne. Elle se distincte aussi par son enseignement libre et autonome. Elle offre surtout une garantie professionnelle optimale, après les trois ans d’études. Un gage de réussite, en France, mais aussi à l’étranger où les start-up de la Silicon Valley recrutent les diplômés à l’esprit peu conventionnel.
Mais avant d’en arriver là, il s’agit de passer l’examen d’entrée. On le dit démentiel. Surnommé « la Piscine », le concours d’entrée à l’École 42 se déroule pendant un mois en plongée totale, d’où son nom. Un examen pour les codeurs nés ou pour les apprentis codeurs. Dans tous les cas, on dit le niveau des épreuves « dantesque » rapporte Elle. Mais le code, selon Xavier Niel, qui va engager 70 millions d’euros dans son école sur dix ans, est le graal. Devenir développeur et maîtriser ce langage informatique est l’assurance du succès. Surtout, son école est atypique : de 18 à 30 ans, on peut postuler avec ou sans diplôme, quelque soit son profil. Le tout est de réussir « la Piscine ».
Cette année, sur 900 candidats qui se sont présentés à l’examen, 11% étaient des filles, contre 6% en 2014. En 2014, 45% des filles ont réussi l’épreuve d’entrée, la moyenne étant de 30%. Ce qui devrait pousser les filles à embrasser des carrières dans l’informatique et le numérique. Car dans la réalité, petite parenthèse, d’après un récent rapport du CGEF, le Contrôle général économique et financier, les étudiantes sont toujours sous représentées dans les écoles publiques d’ingénieurs (30,3%). Et à 42, le rapport est de 90% de garçons contre 10% de filles ! Pourtant, tout le monde est bienvenu, à condition de faire preuve d’esprit d’initiative, « d’entreprenariat cool » à l’image de Xavier Niel dixit Elle, d'être familier de « l’Uber-économie ». Parce que, réussir « la Piscine », sortir de 42, c’est avoir « le pouvoir de changer le monde », dit le fondateur de Free. Allez, on plonge.
Mais avant d’en arriver là, il s’agit de passer l’examen d’entrée. On le dit démentiel. Surnommé « la Piscine », le concours d’entrée à l’École 42 se déroule pendant un mois en plongée totale, d’où son nom. Un examen pour les codeurs nés ou pour les apprentis codeurs. Dans tous les cas, on dit le niveau des épreuves « dantesque » rapporte Elle. Mais le code, selon Xavier Niel, qui va engager 70 millions d’euros dans son école sur dix ans, est le graal. Devenir développeur et maîtriser ce langage informatique est l’assurance du succès. Surtout, son école est atypique : de 18 à 30 ans, on peut postuler avec ou sans diplôme, quelque soit son profil. Le tout est de réussir « la Piscine ».
Cette année, sur 900 candidats qui se sont présentés à l’examen, 11% étaient des filles, contre 6% en 2014. En 2014, 45% des filles ont réussi l’épreuve d’entrée, la moyenne étant de 30%. Ce qui devrait pousser les filles à embrasser des carrières dans l’informatique et le numérique. Car dans la réalité, petite parenthèse, d’après un récent rapport du CGEF, le Contrôle général économique et financier, les étudiantes sont toujours sous représentées dans les écoles publiques d’ingénieurs (30,3%). Et à 42, le rapport est de 90% de garçons contre 10% de filles ! Pourtant, tout le monde est bienvenu, à condition de faire preuve d’esprit d’initiative, « d’entreprenariat cool » à l’image de Xavier Niel dixit Elle, d'être familier de « l’Uber-économie ». Parce que, réussir « la Piscine », sortir de 42, c’est avoir « le pouvoir de changer le monde », dit le fondateur de Free. Allez, on plonge.