C’est une grève et une manifestation symboliques « pour exiger la fin de la violence machiste ».
« Le mode de mobilisation est inédit mais malheureusement nécessaire, selon les organisatrices, pour lutter contre la violence endémique dont sont victimes les femmes en Argentine », explique un article en ligne du journal Le Monde.
L’article ajoute qu’une « cinquantaine d’associations, syndicats et autres organisations, pilotés par le collectif Ni Una Menos (« Pas une de moins »), ont appelé toutes les femmes du pays à effectuer une heure de grève mercredi dernier. »
Après cet appel à la grève, « une manifestation a ensuite eu lieu à 17 heures à Buenos Aires. Des dizaines de milliers de personnes ont convergé, sous la pluie, sur l’emblématique place de Mai. »
« Le mode de mobilisation est inédit mais malheureusement nécessaire, selon les organisatrices, pour lutter contre la violence endémique dont sont victimes les femmes en Argentine », explique un article en ligne du journal Le Monde.
L’article ajoute qu’une « cinquantaine d’associations, syndicats et autres organisations, pilotés par le collectif Ni Una Menos (« Pas une de moins »), ont appelé toutes les femmes du pays à effectuer une heure de grève mercredi dernier. »
Après cet appel à la grève, « une manifestation a ensuite eu lieu à 17 heures à Buenos Aires. Des dizaines de milliers de personnes ont convergé, sous la pluie, sur l’emblématique place de Mai. »
Une lycéenne violée, torturée et assassinée
L’article du Monde souligne que « le visage de cette mobilisation, celui qui était dessiné sur les drapeaux ou écrit sur les pancartes, a été celui de Lucía Pérez. Cette lycéenne de 16 ans a été violée, torturée et assassinée la semaine dernière à Mar del Plata. Le meurtre, d’une violence insoutenable, a choqué le pays. »
La procureure en charge de l’affaire, María Isabel Sánchez, a décrit cette affaire comme « un acte d’agression sexuelle inhumain », ajoutant : « Je suis une mère et une femme. J’ai beau avoir travaillé sur des milliers de crimes dans ma carrière, je n’avais jamais rien vu de tel. »
« La médiatisation et la banalité quotidienne d’une telle sauvagerie ont incité les membres du collectif Ni Una Menos à organiser rapidement cette action, leur cinquième de l’année. Ce collectif de journalistes, écrivaines et activistes avait déjà fait descendre près de 200 000 personnes dans les rues de Buenos Aires en juin 2015 pour dénoncer la violence subie par les Argentines », poursuit l’article du Monde.
Le jeudi 19 octobre dernier, des « manifestations de solidarité ont eu lieu en Espagne, au Chili, au Mexique ou en Uruguay. »
Lire l'intégralité de l'article du Monde ici.
La procureure en charge de l’affaire, María Isabel Sánchez, a décrit cette affaire comme « un acte d’agression sexuelle inhumain », ajoutant : « Je suis une mère et une femme. J’ai beau avoir travaillé sur des milliers de crimes dans ma carrière, je n’avais jamais rien vu de tel. »
« La médiatisation et la banalité quotidienne d’une telle sauvagerie ont incité les membres du collectif Ni Una Menos à organiser rapidement cette action, leur cinquième de l’année. Ce collectif de journalistes, écrivaines et activistes avait déjà fait descendre près de 200 000 personnes dans les rues de Buenos Aires en juin 2015 pour dénoncer la violence subie par les Argentines », poursuit l’article du Monde.
Le jeudi 19 octobre dernier, des « manifestations de solidarité ont eu lieu en Espagne, au Chili, au Mexique ou en Uruguay. »
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