Ça sonne comme une digital detox volontaire. Dans les faits, ça ne l’est pas ! C’est subi. Ce n’est pas Koh Lanta, mais ça craint malgré tout. Sur le territoire français, subsistent des zones que l’on appelle les « no Wi-Fi zones » ou encore, les « zones blanches ». Si, si, cela existe. Pratiquement, ce sont des endroits non couverts par l’ADSL et pas non plus par les réseaux mobiles, ou alors très mal. Cela représente plus de 4 000 localités. Pour l’essentiel, ces communes se trouvent dans des zones rurales. Si elles portent bien leur nom de « no Wi-Fi zones » et que de l’extérieur cela peut avoir un certain charme, de l’intérieur, c’est un vrai casse-tête. La pure galère même.
C’est la raison pour laquelle, le gouvernement a décidé d’agir. Concrètement, un accord a été signé le mois dernier entre l’État et les opérateurs de téléphonie mobile. Ces derniers sont pressés de faire « installer des relais dans l'ensemble des bourgs situés en zones blanches d'ici à fin 2016 », cite Le Figaro. Par ailleurs, les opérateurs devront offrir un accès 3G dans 2 200 communes françaises, d’ici deux ans. Elle est aussi là, la révolution numérique. La transition dans tous les cas. Parce qu'en attendant, les citadins qui veulent partir s’installer à la campagne et y monter leur start-up, peuvent toujours aller se rhabiller.
En attendant la fin de ces « zones blanches », des solutions existent malgré tout pour se connecter à Internet, sans ADSL (2% environ du territoire) et dans des endroits non couverts par les réseaux mobiles. S'il est impossible d’installer une box Internet dans son logement car il n’existe pas de ligne ADSL à proximité, on peut toujours compter sur son smartphone… Mais il y a une condition : qu’il puisse capter un réseau 3 ou 4G, ce qui reste aléatoire en zone dite blanche. Si cela est possible, il faut activer le partage de connexion de son mobile : il va alors créer un réseau Wi-FI auquel ordinateur ou tablette pourront se rattacher.
Dans sa liste de conseil, Le Figaro préconise également de se procurer une clé 3G ou 4G. Cette dernière se branche sur un ordinateur et possède une carte SIM. Autre possibilité, à condition d’avoir une parabole reliée à un modem et un kit de réception, le haut débit par satellite. Autres alternatives : le Wimax, le sans-fil longue distance à partir d'une antenne- relais reliée à un réseau de fibre optique ; le Wi-Fi communautaire avec des antennes placées en hauteur, ou les spots gratuits dans les cafés ou restaurants des petits villages. Des applis comme Wi-Fi Finder ou OpenSignal aident à les localiser. Oui, mais quand-même, le mieux pour éviter de galérer est la disparition des « no Wi-Fi zones » dans les endroits isolés. On ne sait plus ce que sait de ne pas pouvoir se connecter. Ça rend fou !
C’est la raison pour laquelle, le gouvernement a décidé d’agir. Concrètement, un accord a été signé le mois dernier entre l’État et les opérateurs de téléphonie mobile. Ces derniers sont pressés de faire « installer des relais dans l'ensemble des bourgs situés en zones blanches d'ici à fin 2016 », cite Le Figaro. Par ailleurs, les opérateurs devront offrir un accès 3G dans 2 200 communes françaises, d’ici deux ans. Elle est aussi là, la révolution numérique. La transition dans tous les cas. Parce qu'en attendant, les citadins qui veulent partir s’installer à la campagne et y monter leur start-up, peuvent toujours aller se rhabiller.
En attendant la fin de ces « zones blanches », des solutions existent malgré tout pour se connecter à Internet, sans ADSL (2% environ du territoire) et dans des endroits non couverts par les réseaux mobiles. S'il est impossible d’installer une box Internet dans son logement car il n’existe pas de ligne ADSL à proximité, on peut toujours compter sur son smartphone… Mais il y a une condition : qu’il puisse capter un réseau 3 ou 4G, ce qui reste aléatoire en zone dite blanche. Si cela est possible, il faut activer le partage de connexion de son mobile : il va alors créer un réseau Wi-FI auquel ordinateur ou tablette pourront se rattacher.
Dans sa liste de conseil, Le Figaro préconise également de se procurer une clé 3G ou 4G. Cette dernière se branche sur un ordinateur et possède une carte SIM. Autre possibilité, à condition d’avoir une parabole reliée à un modem et un kit de réception, le haut débit par satellite. Autres alternatives : le Wimax, le sans-fil longue distance à partir d'une antenne- relais reliée à un réseau de fibre optique ; le Wi-Fi communautaire avec des antennes placées en hauteur, ou les spots gratuits dans les cafés ou restaurants des petits villages. Des applis comme Wi-Fi Finder ou OpenSignal aident à les localiser. Oui, mais quand-même, le mieux pour éviter de galérer est la disparition des « no Wi-Fi zones » dans les endroits isolés. On ne sait plus ce que sait de ne pas pouvoir se connecter. Ça rend fou !