Victoria Knowles
Ça balance à la City ! Même, on peut dire que le quartier financier de Londres est en émoi. La responsable ? Une jeune femme de 38 ans. Victoria Knowles. Cette dernière vient de publier sur Internet, et à compte d’auteur, son récit comme assistante dans plusieurs sociétés financières. PA, son livre, pour Personal Assistant, donnerait des sueurs froides à certains.
Et pour cause. Elle relate en effet, ses dix ans passés comme assistante dans trois grandes sociétés financières, dont elle ne livre pas les noms. Pour Victoria Knowles, ça n’a pas été la panacée. Selon elle, ses ex-patrons l’ont harcelée. Ces derniers étaient plutôt du genre pervers narcissiques ou exhibitionnistes dans le meilleur des cas. Déviants dans tous les cas. « L’un d’eux avait l’habitude de se masturber devant des films pornos alors que j’étais dans la même pièce », écrit-elle. Bonne ambiance. Elle ajoute, « d’autres avaient des rapports sexuels devant moi. » Bon esprit. On est en droit de se demander : travaille t-on à la City, ou passe t-on ses journées à faire des galipettes ?
Résultat, Victoria Knowles est traumatisée par ses dix années passées dans la City. Elle dénonce également sa disponibilité 24 h sur 24 et les partie de jambes en l’air qu’elle devait organiser pour l'un de ses patrons. Certains d'ailleurs, se seraient reconnus dans ses écrits et auraient déposé plainte. Reste à savoir si Victoria Knowles dit la vérité ou si elle affabule. Dans tous les cas, on n’a pas fini d’entendre parler d’elle.
Et pour cause. Elle relate en effet, ses dix ans passés comme assistante dans trois grandes sociétés financières, dont elle ne livre pas les noms. Pour Victoria Knowles, ça n’a pas été la panacée. Selon elle, ses ex-patrons l’ont harcelée. Ces derniers étaient plutôt du genre pervers narcissiques ou exhibitionnistes dans le meilleur des cas. Déviants dans tous les cas. « L’un d’eux avait l’habitude de se masturber devant des films pornos alors que j’étais dans la même pièce », écrit-elle. Bonne ambiance. Elle ajoute, « d’autres avaient des rapports sexuels devant moi. » Bon esprit. On est en droit de se demander : travaille t-on à la City, ou passe t-on ses journées à faire des galipettes ?
Résultat, Victoria Knowles est traumatisée par ses dix années passées dans la City. Elle dénonce également sa disponibilité 24 h sur 24 et les partie de jambes en l’air qu’elle devait organiser pour l'un de ses patrons. Certains d'ailleurs, se seraient reconnus dans ses écrits et auraient déposé plainte. Reste à savoir si Victoria Knowles dit la vérité ou si elle affabule. Dans tous les cas, on n’a pas fini d’entendre parler d’elle.