Alors que Raf Simons, le directeur artistique de la Maison Dior, a annoncé son départ, Suzy Menkes revient pour Vogue.com, sur la pression dont sont victimes les créateurs de mode.
Depuis cette semaine, un nouveau concept a vu le jour à Tokyo : quand les femmes craquent au bureau, elles peuvent appeler des hommes à la rescousse. Ils sont là pour les consoler.
Il n’est pas question ici de Desperate Housewives. Au contraire ! Aux États-Unis, certaines épouses d’hommes aisés, arrêtent de travailler, essentiellement pour coacher leur progéniture. Plus étonnant, elles peuvent toucher des primes annuelles...
On connaît le syndrome du « burn-out », l’implosion d’un salarié causée par le surmenage. On connaît moins le « bore-out », l’ennui au travail. Il peut pourtant entraîner les mêmes pathologies.
On sait que les filles ont du mal à se faire une place dans les écosystèmes numériques. Pour tenter d’y remédier, il faut saluer l’initiative de Microsoft cette semaine : Digigirlz, ou 350 collégiennes issues de ZEP pour tenter de « casser les codes. »
Dans la high list des personnalités les plus influentes de Time Magazine, figure Elizabeth Holmes, une jeune américaine de 31 ans, serial entrepreneuse.
Du salaire à la place en crèche, en passant par l’intéressement ou la part variable, le package de rémunération peut couvrir des domaines très variés. Que faut-il savoir sur cet élément central des politiques de ressources humaines des entreprises ?
On a en a déjà parlé : pour les femmes, les start-up ne seraient pas des sinécures, mais un univers misogyne et impitoyable. Le dossier du magazine Newsweek relance le débat.