La cause de la mort de Chopin était un mystère. A l’école on apprend qu’il est probablement mort de la tuberculose sans pouvoir l’affirmer catégoriquement. Il se pourrait que cela change grâce à des scientifiques qui viennent de d’analyser le cœur de ce génie du piano mort en 1849 à l’âge de 39 ans. « En 1849, le décès de l’artiste était attribué à la tuberculose, grand fléau à l’époque, mais sans réelle certitude sur la véracité des causes. En 2008, des experts polonais ont relancé les spéculations en affirmant que Chopin, connu pour sa santé fragile, souffrait en fait de mucoviscidose. Cette maladie génétique rare touchait notamment les voies respiratoires. Le mucus, une sécrétion venant des bronches, devient anormalement épais et obstrue les organes concernés. L'espérance de vie des malades est d'environ 40 ans » avance LCI . Jusqu’ici donc, c’était par déduction que l’on affirmait qu’il était mort de cette maladie mais rien ne permettait de le prouver ou de l’affirmer.
Il y a 168 ans le compositeur mourrait à Paris. Sa sœur avait alors respecté les demandes du défunt qui avait souhaité être enterré à Paris mais voulait que son cœur soit ramené à Varsovie en Pologne. Depuis, son cœur a été conservé dans du liquide – certainement du Cognac- dans le plier d’une église de la ville polonaise. Les analyses du cœur ont ainsi permis aux scientifiques d’affirmer avec plus de certitude que Chopin était atteint de tuberculose. « Pour pouvoir se prononcer, l'équipe de chercheurs a travaillé sur des photographies de haute résolution, les autorités polonaises ayant interdit l'ouverture du flacon hermétiquement fermé par crainte de voir son contenu irrémédiablement altéré. En 2008, le ministère de la Culture polonais avait déjà interdit des analyses sur le cœur de Chopin de peur de le rendre inutilisable » précise LCI.
Il y a 168 ans le compositeur mourrait à Paris. Sa sœur avait alors respecté les demandes du défunt qui avait souhaité être enterré à Paris mais voulait que son cœur soit ramené à Varsovie en Pologne. Depuis, son cœur a été conservé dans du liquide – certainement du Cognac- dans le plier d’une église de la ville polonaise. Les analyses du cœur ont ainsi permis aux scientifiques d’affirmer avec plus de certitude que Chopin était atteint de tuberculose. « Pour pouvoir se prononcer, l'équipe de chercheurs a travaillé sur des photographies de haute résolution, les autorités polonaises ayant interdit l'ouverture du flacon hermétiquement fermé par crainte de voir son contenu irrémédiablement altéré. En 2008, le ministère de la Culture polonais avait déjà interdit des analyses sur le cœur de Chopin de peur de le rendre inutilisable » précise LCI.