Priz du gaz : une hausse de près de 12% au 1er juillet 2024
Au 1er juillet 2024, les consommateurs français devront s'adapter à une augmentation significative du Prix Repère de Vente de Gaz naturel (PRVG), fixé par la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Cette hausse atteindra 11,7% par rapport au mois précédent, établissant le PRVG à 129,20 €/MWh toutes taxes comprises. Pour un ménage moyen, cela se traduirait par une facture annuelle de 1.184 euros TTC. Soit en réalité une légère diminution par rapport aux 1.227 euros de janvier 2024, bien que l'augmentation mensuelle soit notable.
Trois principaux facteurs expliquent cette montée des tarifs. Premièrement, le nouvel ATRD 7, le tarif des réseaux de distribution de gaz, qui impacte à lui seul 55% de cette hausse. Ensuite, l'augmentation des prix du gaz sur les marchés de gros, responsable de 37% de l'évolution constatée. Enfin, les Certificats d’Économie d’Énergie (CEE), qui bien que ne représentant que 6% de l'augmentation, influent également sur cette hausse.
Trois principaux facteurs expliquent cette montée des tarifs. Premièrement, le nouvel ATRD 7, le tarif des réseaux de distribution de gaz, qui impacte à lui seul 55% de cette hausse. Ensuite, l'augmentation des prix du gaz sur les marchés de gros, responsable de 37% de l'évolution constatée. Enfin, les Certificats d’Économie d’Énergie (CEE), qui bien que ne représentant que 6% de l'augmentation, influent également sur cette hausse.
Un ajustement des tarifs nécessaire
Selon la CRE, cette révision tarifaire vise à récompenser les efforts de sobriété des consommateurs tout en couvrant les coûts supportés par les fournisseurs. L'augmentation de l'abonnement a été contenue dans le but de ne pas pénaliser outre mesure les usagers. Les consommateurs sont encouragés à comparer les offres des fournisseurs sur le comparateur public energie-info.fr pour trouver les options les plus adaptées à leurs besoins.
Ces nouvelles conditions sont une conséquence de diverses dynamiques, notamment la nécessité de moderniser le réseau de distribution et d'intégrer le biogaz dans le mix énergétique, malgré une baisse de la consommation de gaz de 20% entre 2021 et 2023. Cette diminution de consommation conduit à une augmentation des coûts fixes, essentiellement liés à l'entretien des infrastructures, ce qui inévitablement se répercute sur les factures des utilisateurs.
Ces nouvelles conditions sont une conséquence de diverses dynamiques, notamment la nécessité de moderniser le réseau de distribution et d'intégrer le biogaz dans le mix énergétique, malgré une baisse de la consommation de gaz de 20% entre 2021 et 2023. Cette diminution de consommation conduit à une augmentation des coûts fixes, essentiellement liés à l'entretien des infrastructures, ce qui inévitablement se répercute sur les factures des utilisateurs.