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La France sera un soutien et non un médiateur. « Le président Emmanuel Macron a assuré dimanche à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu'il soutiendrait son plan de paix « sur la scène internationale », lors d'une conversation téléphonique entre les deux chefs d'État. Emmanuel Macron a « réaffirmé son attachement au plan de paix en 10 points proposé par le président Zelensky et lui a assuré qu'il soutiendrait cette initiative sur la scène internationale lors des prochains événements diplomatiques », a indiqué l'Élysée. Ils ont également « évoqué le rappel fait (vendredi à la conférence annuelle de Munich sur la sécurité) auprès des partenaires européens et de l'OTAN de la nécessité de renforcer et d'accélérer le soutien militaire à l'Ukraine et au peuple ukrainien » », rapporte l’Agence France presse.
C’est une rupture avec les prises de paroles précédentes de Emmanuel Macron ou la mise en scène des coups de fil avec Vladimir Poutine au début du conflit. A l’époque, l’Élysée expliquait que la stratégie était de ménager publiquement le Kremlin pour obtenir la fin des hostilités. Désormais, le président français semble avoir compris que sa voix portait peu et qu’en puissance moyenne, la France ne pouvait prétendre à plus que soutenir le pays agressé.
Alors qu’il s’apprêtait à recevoir Joe Biden, le président ukrainien a salué la position française : « J'ai remercié le président pour sa compréhension de nos besoins, et pour ce sentiment partagé que nous devons nous défendre contre l'agression russe sans perdre la moindre occasion et sans perdre une semaine».
« Cet échange s'est produit après l'entretien accordé par le président français au Journal du Dimanche, au Figaro et à France Inter , dans lequel il affirmait vouloir «la défaite» de Moscou face à l'Ukraine, tout en mettant en garde ceux qui veulent «avant tout écraser la Russie» » contextualise l’AFP.
C’est une rupture avec les prises de paroles précédentes de Emmanuel Macron ou la mise en scène des coups de fil avec Vladimir Poutine au début du conflit. A l’époque, l’Élysée expliquait que la stratégie était de ménager publiquement le Kremlin pour obtenir la fin des hostilités. Désormais, le président français semble avoir compris que sa voix portait peu et qu’en puissance moyenne, la France ne pouvait prétendre à plus que soutenir le pays agressé.
Alors qu’il s’apprêtait à recevoir Joe Biden, le président ukrainien a salué la position française : « J'ai remercié le président pour sa compréhension de nos besoins, et pour ce sentiment partagé que nous devons nous défendre contre l'agression russe sans perdre la moindre occasion et sans perdre une semaine».
« Cet échange s'est produit après l'entretien accordé par le président français au Journal du Dimanche, au Figaro et à France Inter , dans lequel il affirmait vouloir «la défaite» de Moscou face à l'Ukraine, tout en mettant en garde ceux qui veulent «avant tout écraser la Russie» » contextualise l’AFP.