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Avec plus de 320 000 morts dans le monde depuis décembre 2019 et des conséquences économiques et sociales sans précédent, le Covid-19 est le nouveau sujet d’opposition entre la Chine et les Etats-Unis. Depuis que l’épidémie s’est abattue sur son pays, Donald Trump n’a eu de cesse d’accuser la Chine et l’OMS de tous les maux. Et tandis que les tentatives de minimisation et la publication de chiffres tronqués par la Chine sont devenus évidents, les liens existants entre Pékin et l’OMS sont devenus un sujet politique majeur.
Car qu’on trouve Donald Trump fantasque et excessif ou non, force est de reconnaitre que le manque de recul de l’OMS sur les données chinoises est un véritable sujet. Avec la rudesse qui est la sienne, le président américain a lancé un ultimatum très clair. « Si l’OMS ne s’engage pas à des améliorations notables dans un délai de 30 jours, je vais transformer la suspension temporaire du financement envers l’OMS en une mesure permanente et reconsidérer notre qualité de membre au sein de l’organisation » a-t-il lancé sur les réseaux sociaux.
« Lors d’une téléconférence inédite consacrée à la maladie, les 194 pays membres de l’organisation ont convenu de lancer « au plus tôt (…) un processus d’évaluation impartiale, indépendante et complète » de l’action internationale engagée face à la pandémie. Cette évaluation, dont les contours demeurent flous, devra passer au crible « les mesures prises par l’OMS face à la pandémie de Covid-19 et leur chronologie ». Cet accord, trouvé avec l’aval de la Chine et des Etats-Unis, se veut une réponse aux accusations du président Donald Trump qui juge l’OMS inféodée à Pékin et lui a lancé un ultimatum d’un mois, sous la menace de quitter cet organe dont les Etats-Unis étaient traditionnellement le premier contributeur » rapporte Le Monde.
La Chine, tout en dénonçant une manipulation politique des Etats-Unis et une attaque ciblée a accepté le principe d’une enquête indépendante, quand la pandémie sera derrière nous.
Car qu’on trouve Donald Trump fantasque et excessif ou non, force est de reconnaitre que le manque de recul de l’OMS sur les données chinoises est un véritable sujet. Avec la rudesse qui est la sienne, le président américain a lancé un ultimatum très clair. « Si l’OMS ne s’engage pas à des améliorations notables dans un délai de 30 jours, je vais transformer la suspension temporaire du financement envers l’OMS en une mesure permanente et reconsidérer notre qualité de membre au sein de l’organisation » a-t-il lancé sur les réseaux sociaux.
« Lors d’une téléconférence inédite consacrée à la maladie, les 194 pays membres de l’organisation ont convenu de lancer « au plus tôt (…) un processus d’évaluation impartiale, indépendante et complète » de l’action internationale engagée face à la pandémie. Cette évaluation, dont les contours demeurent flous, devra passer au crible « les mesures prises par l’OMS face à la pandémie de Covid-19 et leur chronologie ». Cet accord, trouvé avec l’aval de la Chine et des Etats-Unis, se veut une réponse aux accusations du président Donald Trump qui juge l’OMS inféodée à Pékin et lui a lancé un ultimatum d’un mois, sous la menace de quitter cet organe dont les Etats-Unis étaient traditionnellement le premier contributeur » rapporte Le Monde.
La Chine, tout en dénonçant une manipulation politique des Etats-Unis et une attaque ciblée a accepté le principe d’une enquête indépendante, quand la pandémie sera derrière nous.