Le cancer est un fléau autant qu’un défi pour la médecine. Avec près de 9 millions de morts chaque année dans le monde entier, la maladie aux multiples formes est au cœur des préoccupations de la recherche. A l’occasion du 55ème congrès de l’American Society of Clinical Oncology (Asco) – sorte de sommet annuel des chercheurs sur le cancer – les principales avancées de l’année écoulée ont été relayées. France Info relève ainsi cinq nouveautés scientifiques qui pourraient s’avérer prometteuses dans le traitement de cette maladie.
Une molécule qui pourrait permettre de traiter le cancer du sein sans passer par la chimio, les résultats des l’immunothérapie contre le cancer du poumon sont par exemple détaillés comme des promesses pour l’avenir. Mais ce n’est pas tout, les chercheurs ont également fait le point sur une nouvelle molécule qui obtient de très bons résultats face au terrible cancer du pancréas. Sans qu’il s’agisse de guérison mais au moins d’arrête de la progression de ce type de cancer particulièrement meurtrier.
Face au cancer de la prostate, les chercheurs ont souligné les résultats encourageants d’une autre molécule qui bloque la prolifération des cellules malades et a permis d’augmenter de 20% les chances de survie.
Enfin, le congrès a aussi été l’occasion de souligner les promesses des nanoparticules qui augmentent les effets de la radiothérapie. « Elles pourraient ainsi accentuer les effets de certaines immunothérapies en réactivant le système immunitaire. Ces nanoparticules ne seraient pas toxiques car restant dans la tumeur elles disparaissent avec » explique l’article. Une technique française de l’Institut Curie qui a un fort potentiel : « Les résultats publiés au congrès montrent que, pour les trois quart des malades, le résultat est efficace, y compris pour les sarcomes, des cancers rares. Cette thérapie est prometteuse pour des patients âgés ou qui présentent des contre-indications à des traitements lourds comme la chimiothérapie » lit-on plus loin.
Une molécule qui pourrait permettre de traiter le cancer du sein sans passer par la chimio, les résultats des l’immunothérapie contre le cancer du poumon sont par exemple détaillés comme des promesses pour l’avenir. Mais ce n’est pas tout, les chercheurs ont également fait le point sur une nouvelle molécule qui obtient de très bons résultats face au terrible cancer du pancréas. Sans qu’il s’agisse de guérison mais au moins d’arrête de la progression de ce type de cancer particulièrement meurtrier.
Face au cancer de la prostate, les chercheurs ont souligné les résultats encourageants d’une autre molécule qui bloque la prolifération des cellules malades et a permis d’augmenter de 20% les chances de survie.
Enfin, le congrès a aussi été l’occasion de souligner les promesses des nanoparticules qui augmentent les effets de la radiothérapie. « Elles pourraient ainsi accentuer les effets de certaines immunothérapies en réactivant le système immunitaire. Ces nanoparticules ne seraient pas toxiques car restant dans la tumeur elles disparaissent avec » explique l’article. Une technique française de l’Institut Curie qui a un fort potentiel : « Les résultats publiés au congrès montrent que, pour les trois quart des malades, le résultat est efficace, y compris pour les sarcomes, des cancers rares. Cette thérapie est prometteuse pour des patients âgés ou qui présentent des contre-indications à des traitements lourds comme la chimiothérapie » lit-on plus loin.