ILD
Pendant l’année à l’étranger, c’est souvent au Pub ou au bar qu’on parle le mieux la langue locale. Voilà une expérience qui – sans mauvais jeu de mot – fait philosophie de comptoir. Et pourtant, d’après une étude publiée par le Journal of Psychopharmacology et relayée par Time et FranceTvInfo, c’est vrai, picoler fait mieux parler une langue étrangère.
Bon, l’étude a ses limites puisqu’elle ne permet pas de savoir si c’est une question psychologique ou physiologique. En effet, ,la méthode n’est pas scientifique mais plutôt comportementale. « Les chercheurs ont soumis à un test 50 personnes dont l'allemand est la langue natale et qui étudient à l'université de Maastricht, aux Pays-Bas. Tous ont dû s'entretenir avec un néerlandophone pendant deux minutes, après avoir bu un verre d'eau pour la moitié d'entre eux, et après avoir bu une quantité d'alcool déterminée en fonction de leur poids (soit l'équivalent d'une pinte de bière pour un homme d'environ 70 kg) pour l'autre » raconte FranceTvInfo. « Résultat : ceux qui avait consommé de l'alcool ont été mieux notés par leurs interlocuteurs néerlandais que leurs camarades parfaitement sobres, notamment au niveau de la prononciation »
Ce n’est pas la première fois que des chercheurs s’intéressent au lien entre alcool et aisance en langue étrangère. Comme le rappelle la chaine de télévision publique, « en 1972, une étude avait ainsi déterminé que des Américains qui avaient bu de faibles doses d'alcool amélioraient leur prononciation de mots en langue thaï. La quantité idéale ? Quarante-quatre millilitres d'alcool, estimait-elle (au-delà, les sujets devenaient moins bons, a rappelé Slate dans cet article de 2014). »
Ceux qui y verraient une apologie de la consommation excessive d’alcool n’auraient pas bien lu les résultats de ces enquêtes. En effet, si boire un peu améliore l’accent, boire avec excès rend inaudible et ce quel que soit la langue parlée.
Bon, l’étude a ses limites puisqu’elle ne permet pas de savoir si c’est une question psychologique ou physiologique. En effet, ,la méthode n’est pas scientifique mais plutôt comportementale. « Les chercheurs ont soumis à un test 50 personnes dont l'allemand est la langue natale et qui étudient à l'université de Maastricht, aux Pays-Bas. Tous ont dû s'entretenir avec un néerlandophone pendant deux minutes, après avoir bu un verre d'eau pour la moitié d'entre eux, et après avoir bu une quantité d'alcool déterminée en fonction de leur poids (soit l'équivalent d'une pinte de bière pour un homme d'environ 70 kg) pour l'autre » raconte FranceTvInfo. « Résultat : ceux qui avait consommé de l'alcool ont été mieux notés par leurs interlocuteurs néerlandais que leurs camarades parfaitement sobres, notamment au niveau de la prononciation »
Ce n’est pas la première fois que des chercheurs s’intéressent au lien entre alcool et aisance en langue étrangère. Comme le rappelle la chaine de télévision publique, « en 1972, une étude avait ainsi déterminé que des Américains qui avaient bu de faibles doses d'alcool amélioraient leur prononciation de mots en langue thaï. La quantité idéale ? Quarante-quatre millilitres d'alcool, estimait-elle (au-delà, les sujets devenaient moins bons, a rappelé Slate dans cet article de 2014). »
Ceux qui y verraient une apologie de la consommation excessive d’alcool n’auraient pas bien lu les résultats de ces enquêtes. En effet, si boire un peu améliore l’accent, boire avec excès rend inaudible et ce quel que soit la langue parlée.