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Finalement peu importe s’il s’agit d’auto persuasion puisque ça marche. En parallèle de la popularité croissante des spectacles d’hypnose, l’arrivée dans les milieux médicaux est une réalité étonnante. Evidemment, les débats notamment sur l’homéopathie tendent à démontrer que ce qui est pratiqué par des médecins n’est pas pour autant reconnu par la science. Mais en l’occurrence, qu’il s’agisse ou non d’effet placebo, les retours des patients notamment sur le traitement de la douleur sont impressionnants. « Une technique qui s’immisce jusque dans les blocs opératoires : certains hôpitaux utilisent l’hypnose comme anesthésie. Mais comment se fait-il que notre cerveau, tout seul comme un grand, réussisse à nous soulager ? « Quand vous ressentez une douleur, votre corps est capable de balancer des morphines endogènes qui vous soulagent, l’effet peut être très puissant selon les sujets, mais cela n’a rien de magique ! », prévient Philippe Luccarini, chercheur à l’université de Clermont-Ferrand » rapporte 20 Minutes .
Une situation qui s’ajoute au fait que des études et expériences tendent à démontrer que les placebos peuvent s’avérer utile puisque des patients ont affirmé être soulagé de leur douleur alors qu’ils n’avaient pas été traités mais le pensaient. « Et inversement, certains patients découvrent l’effet nocebo. « Une expérience a montré que quand on donne du sucre à des patients, mais qu’on décrit quantité d’effets secondaires, ils sont capables de développer tous ces effets négatifs, explique Lenaic Monconduit. On a même remarqué un effet nocebo de groupe : si un alpiniste se plaint de céphalées en altitude, quand il transmet l’information aux autres, ils risquent aussi de ressentir ces maux de tête. Cela met en exergue la problématique des réseaux sociaux, par exemple dans la crise du Levothyrox, si l’information qui se propage rapidement est positive ou négative, elle va être capable de provoquer des conséquences importantes. Ce ne sont pas les patients qui imaginent, mais ils sont vraiment soulagés ou vont vraiment expérimenter des effets secondaires d’un médicament. » » lit-on plus loin. Autant de pistes qui démontrent les capacités du cerveau à agir sur le corps et donc le potentiel de l’hypnose.
Une situation qui s’ajoute au fait que des études et expériences tendent à démontrer que les placebos peuvent s’avérer utile puisque des patients ont affirmé être soulagé de leur douleur alors qu’ils n’avaient pas été traités mais le pensaient. « Et inversement, certains patients découvrent l’effet nocebo. « Une expérience a montré que quand on donne du sucre à des patients, mais qu’on décrit quantité d’effets secondaires, ils sont capables de développer tous ces effets négatifs, explique Lenaic Monconduit. On a même remarqué un effet nocebo de groupe : si un alpiniste se plaint de céphalées en altitude, quand il transmet l’information aux autres, ils risquent aussi de ressentir ces maux de tête. Cela met en exergue la problématique des réseaux sociaux, par exemple dans la crise du Levothyrox, si l’information qui se propage rapidement est positive ou négative, elle va être capable de provoquer des conséquences importantes. Ce ne sont pas les patients qui imaginent, mais ils sont vraiment soulagés ou vont vraiment expérimenter des effets secondaires d’un médicament. » » lit-on plus loin. Autant de pistes qui démontrent les capacités du cerveau à agir sur le corps et donc le potentiel de l’hypnose.