Creative Commons - Pixabay
Pas dans l’actualité mais toujours là. Le directeur de l’Organisation mondiale de la Santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus s’est exprimé lors d’un point presse pour rappeler que le Covid était toujours un sujet sanitaire planétaire. « Cette pandémie est loin d’être terminée », a-t-il lancé. Alors qu’il y a deux ans exactement son organisation lançait une alerte mondiale le total mondial de morts de cette maladie s’élève à 6 millions. « Même si l'OMS note depuis quelque temps que le nombre d'infections et le nombre de mort baissent, « cette pandémie est loin d'être terminée et elle ne sera finie nulle part si elle n'est pas finie partout », a souligné le patron de l'organisation. L'OMS a noté une croissance très forte dans la région du pacifique occidental, même si au niveau mondial le nombre de nouvelles infections et de décès ont baissé respectivement de 5 et 8%, selon le rapport épidémiologique hebdomadaire » rapporte Le Figaro.
« « Le virus continue d'évoluer et nous continuons à faire face à des obstacles majeurs dans la distribution des vaccins, des tests et des traitements partout où le besoin s'en ressent», insiste le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus. Les tests -qui permettent de détecter les nouveaux variants- sont une source d'inquiétude pour l'OMS, son patron notant que « plusieurs pays ont drastiquement réduit leurs tests». « Cela nous empêche de voir où se trouve le virus, comment il se répand et comment il évolue», a-t-il mis en garde. La stratégie de tests en Afrique du Sud avait ainsi permis de détecter très vite le variant Omicron à la fin novembre 2021. Il est aujourd'hui ultra-dominant » continue le quotidien. A l’image de la France, de nombreux pays s’apprêtent à lever les restrictions sanitaires sans certitude sur les éventuels rebonds épidémiques. Ni les stratégies vaccinales à aborder cet été dans l’éventualité d’une nouvelle vague.
« « Le virus continue d'évoluer et nous continuons à faire face à des obstacles majeurs dans la distribution des vaccins, des tests et des traitements partout où le besoin s'en ressent», insiste le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus. Les tests -qui permettent de détecter les nouveaux variants- sont une source d'inquiétude pour l'OMS, son patron notant que « plusieurs pays ont drastiquement réduit leurs tests». « Cela nous empêche de voir où se trouve le virus, comment il se répand et comment il évolue», a-t-il mis en garde. La stratégie de tests en Afrique du Sud avait ainsi permis de détecter très vite le variant Omicron à la fin novembre 2021. Il est aujourd'hui ultra-dominant » continue le quotidien. A l’image de la France, de nombreux pays s’apprêtent à lever les restrictions sanitaires sans certitude sur les éventuels rebonds épidémiques. Ni les stratégies vaccinales à aborder cet été dans l’éventualité d’une nouvelle vague.