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Il faudra certainement élargir les essais pour s’assurer de la fiabilité du test. Mais à en croire les premiers résultats d’une étude hospitalière, « l’endotest » est prometteur. Alors que l’endométriose touche des centaines de milliers de femmes, un des principaux enjeux est le diagnostic. C’est d’ailleurs une des souffrances rapportées par les femmes concernées avec parfois des années entre les premiers symptômes et un diagnostic clair posé par un médecin. « Grâce à un partenariat public-privé et après trois années de recherche, une société française présente une nouvelle manière rapide de diagnostiquer la maladie : un test salivaire avec une réponse en seulement une dizaine de jours. Il a déjà été approuvé par les hôpitaux publics et des associations de patientes. Jusqu'ici, le diagnostic passait soit par l'imagerie médicale : une échographie ou une IRM, soit par la cœlioscopie en cas de suspicion d'atteinte du colon. L'entreprise lyonnaise Ziwig a élaboré ce test, et l'a évalué sur 200 femmes dans plusieurs hôpitaux publics en France : le résultat s'avère fiable dans quasiment 100% des cas. Les médecins estiment que prendre la maladie plus tôt pourrait éviter à certaines femmes de devenir infertiles, de ralentir voire stopper l'aggraver des douleurs et autres symptômes, et ainsi limiter la détérioration de la qualité de vie des patients » nous apprend La Dépêche.
Alors que le recours à des tests est entré dans notre quotidien à la faveur du Covid, le processus annoncé pour l’Endotest parait très accessible. Un pett tube en plastique dans lequel il fait cracher avant de l’envoyer par courrier au laboratoire qui se chargera d’un séquençage d’ADN. Un procédé très simple qui peut se faire à la maison et évite de passer par les méandres des cabinets médicaux ou centres d’imageries médicales. La Haute Autorité de santé doit désormais se pencher sur le procédé qui doit obtenir son autorisation avant commercialisation.
Alors que le recours à des tests est entré dans notre quotidien à la faveur du Covid, le processus annoncé pour l’Endotest parait très accessible. Un pett tube en plastique dans lequel il fait cracher avant de l’envoyer par courrier au laboratoire qui se chargera d’un séquençage d’ADN. Un procédé très simple qui peut se faire à la maison et évite de passer par les méandres des cabinets médicaux ou centres d’imageries médicales. La Haute Autorité de santé doit désormais se pencher sur le procédé qui doit obtenir son autorisation avant commercialisation.