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Ce n’est pas un encouragement à fumer. Loin de là. Mais des spécialistes des poumons ont relevé une progression forte de la part de non fumeurs parmi les personnes touchées par le cancer du poumon. « Le cancer du poumon est en progression et de plus en plus de non-fumeurs sont atteints, ont alerté dans une étude les pneumologues français, réunis ce week-end à l'occasion de leur 26e congrès à Lille (Nord). Si les fumeurs sont largement majoritaires parmi les patients touchés par le cancer du poumon, les non-fumeurs représentent 12 % des diagnostics, presque deux fois plus qu’il y a 20 ans, a rapporté RTL. Outre le facteur génétique, la pollution ou encore l’amiante provoquent des cancers bronchiques. Or, ces derniers sont «longtemps sournois, asymptomatiques, pour lesquels les gens n'ont aucune plainte, a confié à la radio nationale Didier Debieuvre, chef du service de pneumologie à l’hôpital de Mulhouse. Quand ils arrivent avec des symptômes, il est souvent trop tard» » rapporte CNews .
Les cancers du poumon restent un fléau et un risque majeur pour la santé des milliers de fumeurs. Et, même si les articles précités ne le précisent pas, la baisse du nombre des fumeurs a aussi évidemment un impact direct sur la proportion des non fumeurs parmi les patients.
Comme pour tous les cancers, c’est le dépistage précoce qui peut permettre de sauver des vies. «Une prise en charge rapide du patient situent les chances de survies à 5 ans à 90 % alors qu’elles chutent à 5% si des métastases se sont déjà développées dans l’organisme » assure CNews. Et de ce point de vue, les personnes qui ne fument pas mais qui vivent dans un environnement pollué ou travaillent près de substances nocives doivent être vigilantes aux premiers symptômes pulmonaires. Ne pas fumer ne voulant pas dire que l’on est pas concerné, il faut être prudent.
Les cancers du poumon restent un fléau et un risque majeur pour la santé des milliers de fumeurs. Et, même si les articles précités ne le précisent pas, la baisse du nombre des fumeurs a aussi évidemment un impact direct sur la proportion des non fumeurs parmi les patients.
Comme pour tous les cancers, c’est le dépistage précoce qui peut permettre de sauver des vies. «Une prise en charge rapide du patient situent les chances de survies à 5 ans à 90 % alors qu’elles chutent à 5% si des métastases se sont déjà développées dans l’organisme » assure CNews. Et de ce point de vue, les personnes qui ne fument pas mais qui vivent dans un environnement pollué ou travaillent près de substances nocives doivent être vigilantes aux premiers symptômes pulmonaires. Ne pas fumer ne voulant pas dire que l’on est pas concerné, il faut être prudent.