Le moins que l’on puisse dire c’est que la relation est mal partie. Quand un recruteur identifie immédiatement un mensonge dans un CV, on voit mal pourquoi il jetterait son dévolu sur le candidat. Et pourtant, c’est loin d’être rare, montre une étude du cabinet en recrutement Robert Half, dont les conclusions ont été reprises par Le Figaro. « La section la plus propice à ces «aménagements» est celle de l'expérience professionnelle (55%). Exagérer les tâches réalisées et les responsabilités occupées dans des postes précédents est courant lorsqu'on se porte candidat. 26% des DG et managers questionnés ont en effet reconnu avoir déjà repéré ce type d'«erreur» sur les curriculum vitae. Mettre en avant une expérience particulière peut être un atout mais peut également porter préjudice si sa description ne correspond pas à la réalité, note cependant le cabinet. La survalorisation, voire l'invention, de premières expériences telles que les stages (20%) est aussi une pratique récurrente » liste le quotidien.
Parmi les autres mensonges courants, les diplômes sont largement cités. De l’invention pure et simple à la transformation d’un séminaire ou d’une université d’été en diplôme, les tentations sont nombreuses. « Les directeurs généraux et managers questionnés ont également observé un penchant pour l'exagération des compétences. En première ligne, les compétences techniques (39%). Les candidats ont souvent tendance à les ajuster en fonction du poste qu'il vise, surtout s'il s'agit de leurs capacités de leadership (16%) ou de gestion de projet (12%) » continue l’article.
Mensonge courant mais qui tourne facilement à la catastrophe, l’exagération du niveau en langues est catastrophique. Si la langue est vraiment nécessaire pour l’emploi, elle sera testée en entretien et peut entrainer une situation très gênante. « D'après l'enquête, les candidats ont également tendance à surévaluer un autre point: le salaire (17%). Réévaluer à la hausse la rémunération touchée dans les fonctions précédentes peut être une bonne stratégie pour influencer le recruteur et lui indiquer le salaire que vous demandez. Mais les chances de succès sont faibles en comparaison des risques encourus en cas de flagrant délit de mensonge » continue Le Figaro.
Parmi les autres mensonges courants, les diplômes sont largement cités. De l’invention pure et simple à la transformation d’un séminaire ou d’une université d’été en diplôme, les tentations sont nombreuses. « Les directeurs généraux et managers questionnés ont également observé un penchant pour l'exagération des compétences. En première ligne, les compétences techniques (39%). Les candidats ont souvent tendance à les ajuster en fonction du poste qu'il vise, surtout s'il s'agit de leurs capacités de leadership (16%) ou de gestion de projet (12%) » continue l’article.
Mensonge courant mais qui tourne facilement à la catastrophe, l’exagération du niveau en langues est catastrophique. Si la langue est vraiment nécessaire pour l’emploi, elle sera testée en entretien et peut entrainer une situation très gênante. « D'après l'enquête, les candidats ont également tendance à surévaluer un autre point: le salaire (17%). Réévaluer à la hausse la rémunération touchée dans les fonctions précédentes peut être une bonne stratégie pour influencer le recruteur et lui indiquer le salaire que vous demandez. Mais les chances de succès sont faibles en comparaison des risques encourus en cas de flagrant délit de mensonge » continue Le Figaro.