Entre le légal et la pratique, peu de sujets sont aussi déconnecté que celui de la grossesse. Si le droit français est très avantageux pour les femmes, il est très courant que de femmes enceintes réalisent que l’arrivée d’un enfant n’est pas toujours une nouvelle bien prise par la hiérarchie professionnelle. Mise dans un placard, pressions, pertes de responsabilité, ces pratiques sont courantes et doivent pousser les futures mamans à être vigilantes, à connaitre leurs droits et à obliger leur employeur à adopter une position transparente.
Une posture claire face à l’employeur
Dans un article sur le sujet, le site Huffington Post résume très bien la situation en abordant la question avec trois points clés : l’entretien d’embauche, la grossesse au travail et la réaction à adopter en cas d’injustices. « Il n'y a pas d'obligation légale de déclarer sa grossesse, que ce soit au moment de l'entretien ou même une fois le contrat de travail signé. Du point de vue de l'employeur, il est interdit de discriminer une candidate ou salariée sur ce critère » rappelle le site. S’il n’existe pas de solution miracle, il est tout de même important de se mettre dans la peau d’un employeur qui pourrait se sentir manipulé par une employée qui lui a caché qu’elle était enceinte. Situation d’autant plus stratégique qu’en fonction de la réaction de l’employeur, il est possible d’en savoir beaucoup sur la politique de l’entreprise sur la question.
Pour ce qui est de la grossesse au travail, ici aussi il n’y a pas d’obligation légale mais pour des raisons de délicatesse il est préférable de prévenir en avance. « Les processus de recrutement pouvant être longs et coûteux et l'employeur appréciera d'avoir été informé en amont » remarque judicieusement le site.
Enfin, en cas de conflit, de non embauche ou de mise dans un placard, le Huffington Post conseille de saisir le Défenseur des droits qui a pour objectif de lutter contre les discriminations.
Lire en intégralité l’article sur le site Huffington Post
Pour ce qui est de la grossesse au travail, ici aussi il n’y a pas d’obligation légale mais pour des raisons de délicatesse il est préférable de prévenir en avance. « Les processus de recrutement pouvant être longs et coûteux et l'employeur appréciera d'avoir été informé en amont » remarque judicieusement le site.
Enfin, en cas de conflit, de non embauche ou de mise dans un placard, le Huffington Post conseille de saisir le Défenseur des droits qui a pour objectif de lutter contre les discriminations.
Lire en intégralité l’article sur le site Huffington Post