Contrairement au Goncourt qui a décidé de ne pas donner son prix tant que les librairies seraient fermées, le Prix Femina a fait connaitre son lauréat. « Serge Joncour a remporté lundi 2 novembre le prix Femina du roman français, avec son livre intitulé Nature humaine (Flammarion), alors que la plupart des autres récompenses littéraires ont reporté leur édition en attendant la réouverture des librairies. Serge Joncour, 58 ans, signe un grand roman rural qui dépeint les mutations de la France à la fin du XXe siècle, à travers le destin d’une famille d’agriculteurs du Sud-Ouest. Serge Joncour avait reçu le prix Interallié en novembre 2016 pour Repose-toi sur moi (Flammarion), un roman d’amour » nous apprend Le Monde .
Pour le prix du roman étranger Deborah Levy a été récompensée pour Le Coût de la vie et Ce que je ne veux pas savoir, l’autobiographie en deux ouvrages de l’auteur britannique. « Christophe Granger, pour Joseph Kabris ou les possibilités d’une vie (Anamosa), remporte le prix de l’essai. Enfin, un « prix spécial du jury » a été décerné au Libanais Charif Majdalani, pour Beyrouth 2020 (Actes Sud) » précise Le Monde. « L’événement annuel des prix littéraires constitue un acte de soutien capital à tous les acteurs de la chaîne du livre, éditeurs, libraires et auteurs qui, en ce moment, résistent par tous les moyens aux circonstances contraires. Nous sommes entièrement solidaires des libraires », a plaidé le jury du Femina.
Comme pour se défendre d’avoir maintenu le prix quand d’autres ont annulé pour ne pas faire la fête quand les libraires voient leur grand méchant concurrent Amazon rafler la mise des achats de livres de fin d’année. Surveiller les ventes Amazon après l’annonce du Prix Femina permettra de se conforter dans l’idée que l’annonce d’un prix profite aux ventes et donc à l’ensemble de la chaine, y compris les libraires, s’ils sont ouverts.
Pour le prix du roman étranger Deborah Levy a été récompensée pour Le Coût de la vie et Ce que je ne veux pas savoir, l’autobiographie en deux ouvrages de l’auteur britannique. « Christophe Granger, pour Joseph Kabris ou les possibilités d’une vie (Anamosa), remporte le prix de l’essai. Enfin, un « prix spécial du jury » a été décerné au Libanais Charif Majdalani, pour Beyrouth 2020 (Actes Sud) » précise Le Monde. « L’événement annuel des prix littéraires constitue un acte de soutien capital à tous les acteurs de la chaîne du livre, éditeurs, libraires et auteurs qui, en ce moment, résistent par tous les moyens aux circonstances contraires. Nous sommes entièrement solidaires des libraires », a plaidé le jury du Femina.
Comme pour se défendre d’avoir maintenu le prix quand d’autres ont annulé pour ne pas faire la fête quand les libraires voient leur grand méchant concurrent Amazon rafler la mise des achats de livres de fin d’année. Surveiller les ventes Amazon après l’annonce du Prix Femina permettra de se conforter dans l’idée que l’annonce d’un prix profite aux ventes et donc à l’ensemble de la chaine, y compris les libraires, s’ils sont ouverts.