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Lanceur d’alerte, quel courage, quel prestige évidemment, mais quel calvaire aussi. Les exemples commencent à être nombreux de ceux qui se sont dressés pour abattre plus puissant. Prêts à jouer avec la légalité pour révéler ce qu’ils estiment d’utilité publiques, ces lanceurs d’alertes payent souvent cher leur prise de position.
Dans ce paysage très hétéroclite où l’on peine parfois à distinguer les intentions des uns ou des autres, Irène Frachon fait figure d’exception. « La pneumologue qui s'est battue pour que le Mediator ne soit plus commercialisé et qui se bat encore pour l'indemnisation des victimes fait partie des rares lanceurs d'alerte à avoir gardé son travail, à n'avoir pas subi de poursuites judiciaires et à obtenir gain de cause jusqu'au bout » résume le site Huffington Post dans un article bien senti qui s’arrête sur cette personnalité courageuse. L’article qui veut expliquer « Pourquoi Irène Franchon a réussi avec le Mediator là où tant de lanceurs d’alertes ont échoué », arrive au moment où sort un film qui la met à l’honneur : La Fille de Brest.
Dans cette affaire, qui concerne le médicament coupe faim du Laboratoire Servier qui aurait fait entre 1 500 et 2 000 morts, la médecin s’en est bien tiré. « Je suis une privilégiée, je n'ai pas perdu mon job (ou pas encore), je suis une lanceuse d'alerte qui fait un peu envie, dans le sens où j'ai réussi. Beaucoup de lanceurs d'alerte me demandent comment j'ai fait et ma réponse est terrible: '2000 morts'. J'ai réussi à obtenir 2800 avis d'indemnisation pour les victimes du Mediator, c'est tout ce qui m'intéresse » a-t-elle expliqué au site.
Pour le Huffington version française la stratégie s’est avérée gagnante parce que la pneumologue a suivi quatre principes qui devraient faire réfléchir ceux qui songent à alerter sur une situation ou société : « 1 - s’attaquer à un gros poisson, pas à l’océan ; 2 Emporter avec soi des informations en béton ; 3 – Conserver une démarche sincère et authentique ; 4 – Se créer des relais d’opinions solides. »
Lire ici en intégralité l’article du Huffington Post
Dans ce paysage très hétéroclite où l’on peine parfois à distinguer les intentions des uns ou des autres, Irène Frachon fait figure d’exception. « La pneumologue qui s'est battue pour que le Mediator ne soit plus commercialisé et qui se bat encore pour l'indemnisation des victimes fait partie des rares lanceurs d'alerte à avoir gardé son travail, à n'avoir pas subi de poursuites judiciaires et à obtenir gain de cause jusqu'au bout » résume le site Huffington Post dans un article bien senti qui s’arrête sur cette personnalité courageuse. L’article qui veut expliquer « Pourquoi Irène Franchon a réussi avec le Mediator là où tant de lanceurs d’alertes ont échoué », arrive au moment où sort un film qui la met à l’honneur : La Fille de Brest.
Dans cette affaire, qui concerne le médicament coupe faim du Laboratoire Servier qui aurait fait entre 1 500 et 2 000 morts, la médecin s’en est bien tiré. « Je suis une privilégiée, je n'ai pas perdu mon job (ou pas encore), je suis une lanceuse d'alerte qui fait un peu envie, dans le sens où j'ai réussi. Beaucoup de lanceurs d'alerte me demandent comment j'ai fait et ma réponse est terrible: '2000 morts'. J'ai réussi à obtenir 2800 avis d'indemnisation pour les victimes du Mediator, c'est tout ce qui m'intéresse » a-t-elle expliqué au site.
Pour le Huffington version française la stratégie s’est avérée gagnante parce que la pneumologue a suivi quatre principes qui devraient faire réfléchir ceux qui songent à alerter sur une situation ou société : « 1 - s’attaquer à un gros poisson, pas à l’océan ; 2 Emporter avec soi des informations en béton ; 3 – Conserver une démarche sincère et authentique ; 4 – Se créer des relais d’opinions solides. »
Lire ici en intégralité l’article du Huffington Post