Les médicaments de confort, ceux que l’on prend habituellement quand on a des petits maux, ne sont pas si anodins. Une étude publiée par le magazine professionnel Prescrire dresse la liste des médicaments jugés « plus dangereux qu’utiles ». Avec 105 produits dont 92 commercialisés en France, le magazine estime que le rapport entre l’utilité et la dangerosité ne justifie par leur prescription. Ou plutôt, que les données scientifiques disponibles encouragent à ne pas les prescrire. « Chaque année, la revue Prescrire, actualise sa liste de médicaments à proscrire. En 2019, douze nouveaux médicaments viennent s’ajouter au tableau, passant le total à 105 produits. « Certains sont pourtant commercialisés depuis de nombreuses années et d’utilisation courante », assure la revue » rapporte Actu.fr .
La présence de médicaments très présents dans notre quotidien a fait largement parlé à la sortie de cette liste noire. On y retrouve en effet le Smecta, le Primalan, Clarix, Vicks et TanakaN. D’autant que la revue propose des alternatives moins problématiques pour chaque médicament à proscrire. « Augmentation du risque cardiovasculaire, hémorragie, diarrhée, hypertension artérielle…. La prise de ces médicaments pourrait la cause de » mortalité, d’hospitalisations ou d’effets nocifs graves ou très gênants, largement évitables », précise la revue. Comment expliquer que ces effets indésirables n’aient pas été rendus visibles avant la diffusion sur le marché ? « Ils peuvent ne pas avoir été repérés lors des essais, et le sont parfois seulement après plusieurs années d’utilisation par un grand nombre de patients », tentent d’expliquer les experts de la revue médicale » ajoute le site d’actualités.
Sans qu’il s’agisse de produits qui pourraient déclencher des scandales sanitaires, les auteurs de la liste estiment que les autorités devraient revoir leur évaluation des médicaments en prenant en compte la sévérité des maux traités en la comparant aux éventuels effets secondaires.
La présence de médicaments très présents dans notre quotidien a fait largement parlé à la sortie de cette liste noire. On y retrouve en effet le Smecta, le Primalan, Clarix, Vicks et TanakaN. D’autant que la revue propose des alternatives moins problématiques pour chaque médicament à proscrire. « Augmentation du risque cardiovasculaire, hémorragie, diarrhée, hypertension artérielle…. La prise de ces médicaments pourrait la cause de » mortalité, d’hospitalisations ou d’effets nocifs graves ou très gênants, largement évitables », précise la revue. Comment expliquer que ces effets indésirables n’aient pas été rendus visibles avant la diffusion sur le marché ? « Ils peuvent ne pas avoir été repérés lors des essais, et le sont parfois seulement après plusieurs années d’utilisation par un grand nombre de patients », tentent d’expliquer les experts de la revue médicale » ajoute le site d’actualités.
Sans qu’il s’agisse de produits qui pourraient déclencher des scandales sanitaires, les auteurs de la liste estiment que les autorités devraient revoir leur évaluation des médicaments en prenant en compte la sévérité des maux traités en la comparant aux éventuels effets secondaires.